ÉTABLISSEMENT DO Grand Sud Est

En direct du CSE GSE du 28 octobre au 2 novembre

Principaux points à l’ordre du jour :
«Fusion UAT/SCO » « Covid‐19 »
«Adaptation des horaires en boutiques»
«Sectorisation du SST » «Activité T1 et T2 2020 »
« Réorganisation Pilotage THD »
«Activités Sociales et Culturelles»

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CSE DOGSE septembre 2020

Séance du 24 au 30 septembre 2020

Principaux points à l’ordre du jour

«Rapport 2019 des médecins » « Covid-19 »
«Bilan Formation 2019» «Alternance 2019 »
«Immobilier Marseille»
« Réorganisation CA UI AuRA et Pilotage FFTO »
«Activités Sociales et Culturelles»

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Unité d’Intervention Marseille - CHSCT

Déclaration préalable au CHSCT du 13 juillet 2017 :

Push mail du DRH groupe d’Orange le 11 juillet aux salariés pour les élections professionnelles de novembre chez Orange :

Représentant du personnel : Pourquoi la direction s’occupe des candidatures ?

Devrions-nous penser que la direction d’Orange est déjà « En Marche » vers la loi travail XXL qui souhaite supprimer les organisations syndicales aux profits de candidatures individuelles ?

En effet dans votre push mail du 11 juillet aux salariés, vous semblez réécrire les prérogatives des instances (et non des organes) de représentation du personnel. En aucun cas les élus DP, CE et CHSCT ne sont des partenaires sur les performances des enjeux économiques.

Dans notre entreprise comme dans beaucoup d’autres, faire état de son engament syndical lors d’un entretien d’embauche ou de promotion, par exemple, n’est surement pas « un atout […] dans un parcours professionnel » ! Sauf à accompagner l’ensemble de vos projets même si c’est à contre sens des intérêts et conditions de travail des salarié-e-s.

C’est aux organisations syndicales de construire leurs listes, de définir le rôle de leurs élus et mandatés en lien permanent avec leurs syndiqués et les salariés.

S’il y a des difficultés à construire des listes, c’est plus du fait de la discrimination syndicale, de l’absence complète d’une génération de salariés car l’entreprise n’a pas embauché et nous nous retrouvons avec des jeunes recrutés d’un côté et des futurs retraitables de l’autre.

Le TPS, le télétravail à domicile, le temps partiel subi notamment par les femmes pour concilier vie professionnelle et vie privé, l’incertitude face à la perte d’activités et/ou transférées, les sous effectifs, sont autant de barrières pour devenir un candidat-e aux élections professionnelles.

Pour la CGT, l’organisation du travail, les répressions syndicales, les vagues de licenciements massives, la loi « Travail » d’hier et de demain sont des coups durs portés contre les syndicats et les dialogues sociaux dans les entreprises.

Sachez que nous ne resterons pas sans rien faire durant l’été pour alerter les salariés sur les dangers à venir de la casse du code du travail, qui est le seul rempart pour leur garantir un minimum de droits et d’accès, mais surtout pour porter nos revendications comme les 32h, le nouveau statut du salarié ou encore le 13ème mois dans notre entreprise.

Il aurait été plus efficace de faire un push mail : « Me syndiquer : pourquoi pas moi ? ».

Merci pour votre attention

Les élu-e-s CGT du CHSCT UIM : Jean Michel SCOTTO, Dalila HAMACHE, Marie Ange LLEDO, Guillaume LAMOURETTE, Robert LAURENT.

Le RS CGT du CHSCT UIM : Patrick CABEDO

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Par nos luttes et par nos votes, gagnons le progrès social !

Journal LDAJ Mai 2017 N°14

Les électeurs ont donc choisi massivement de barrer la route au Front National.

L’élection d’Emmanuel MACRON pour beaucoup par défaut et par crainte du pire, c’est le changement dans la continuité.

Si la forme change, c’est pour mieux continuer et amplifier les politiques libérales au service des actionnaires et du capital, en toute complicité avec l’Union Européenne.

Ce sont les politiques d’austérité, de casse des droits et garanties collectives, le chômage, qui entraînent la misère, la précarité, nourrissent la désespérance sociale et l’extrême droite. .

Les salariés et les citoyens devront être particulièrement vigilants sur 4 propositions du programme d’Emmanuel Macron :

  1. La réforme du code du travail par ordonnance (plafonnement des condamnations prudhommales, accord d’entreprise prévalant sur la loi ou les accords de branche, référendum pouvant être déclenché par l’Employeur, suppression de la prévention et du contrôle de la santé)
  2. La réforme de l’assurance chômage et de la formation professionnelle (Financement non plus par les cotisations sociales mais par la CSG qui augmenterait)
  3. La remise en cause de la fonction publique (Suppression de 120 000 Emplois en 5 ans et recrutement de contractuels de droit privé, disparition du point d’indice et salaire au profil)
  4. La réforme du système de retraites (La retraite à points qui casse notre système et qui porte de forts dangers sur le niveau des retraites

D’où toute l’importance de voter en Juin pour des candidats de progrès social qui lui refuseront de gouverner par ordonnances.

C’est aussi de voter CGT pour le progrès social aux prochaines élections DP et CE à Orange fin 2017.

La CGT avec ses propositions revendicatives alternatives n’aura de cesse d’œuvrer à l’unité de celles et ceux qui ont intérêt à ce que les choses changent car, tous ensembles, nous pouvons imposer une politique de justice sociale.

Le Pire a été évité …. Pour le Meilleur, il va falloir Mobiliser par la Lutte et les Votes !

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SCO CE : Merci aux signataires de l’accord salarial 2017 !!!

« Ils s’engagent » ou  « ne lâchent rien »  qu’ils disent dans leurs tracts  vous les reconnaissez ????

Résultat au SCOCE :

Pour une partie des salariés du SCO CE  des plateaux de  Bourg en Bresse, Grenoble, St Etienne, Voiron, Isle d’Abeau qui auraient dû toucher, à l’instar de leurs collègues de Lyon en 2014 suite à leur évolution métier sur du GT Mixte open mobile un accompagnement financier de 3% avec 1200 € minimum, une PVV garantie , et une prime pour les soutiens, tout cela risque de faire comme dans la fable de Lafontaine,  Perrette et le pot au lait : « adieu, Mec , et primes !!!!! »

Eh oui ce 12 mai en réunion DS, la direction du SCO nous a annoncé que, la maigre enveloppe allouée par le national et la DOCE dans le cadre de l’accord salarial 2017, validé par la signature de FO et CFDT  (vous les aviez reconnu !! J J), ne permettait pas à ce jour de respecter cet engagement pris en réunion DS SCO en mars.

La direction se trouve donc devant un dilemme pour rentrer dans son budget :

  • soit baisser la MEC consentie à 2% et 600€ minima comme le permet le nouvel accord reconnaissance des compétences et qualifications, là aussi signée par ces organisations syndicales
  • soit respecter l’accord pour ces salariés et voir ainsi son budget promotion pour le restant de l’unité compromis.

Réponse définitive, de la direction, sous 15 jours !!!

Problème : les premières formations commencent sous 15 jours et les salariés ne veulent pas s’engager sans connaître leur accompagnement.

N’attendez donc pas et massivement mobilisez-vous en signant la pétition unitaire CGT/SUD réclamant votre dû.

RAPPEL SUR LES NAO 2017 = une négociation déloyale

Le 28 mars 2017, l’ensemble des organisations syndicales (OS) avait fait un front commun entraînant la suspension des négociations, afin que l’entreprise revoie sa copie. La direction s’y est refusée estimant avoir fait le maximum d’efforts pour les salariés. Coup de théâtre, 72h avant la séance de signature, elle est revenue vers les OS par mail afin de proposer 25 € brut annuel (soit 2,08 € brut/mois) en plus de sa proposition initiale pour la mesure collective pour les salariés de droit privé non cadre(de 275€ annuel à 300€) et toujours 60€ annuel pour les fonctionnaires.

Bref, des miettes, encore des miettes ! Dommage que des syndicats (CFDT et FO) acceptent l’inacceptable et, encore une fois, jouent le jeu de l’entreprise, alors même que le pouvoir d’achat des salariés est en baisse (-10% pour l’intéressement/la participation). En maintenant notre front commun, avec l’appui des salariés, nous aurions pu obtenir des mesures plus conséquentes.

Les 3,2 milliards d’€ de bénéfices, fruit du travail des salariés, doivent servir à répondre aux besoins exprimés par les salariés en matières d’emploi, de reconnaissance et de rémunération. L’argent existe, la direction doit répartir autrement les richesses.

Si le front commun avait tenu nationalement, nous n’en serions pas réduits à négocier des reculs en local. Encore une fois ce n’est qu’une question de choix et pour anticiper les critiques qui consistent à dire « de toute façon la CGT ne signe jamais rien  et ne se mouille donc pas» c’est totalement faux, la CGT avait signé l’accord accompagnement SCO LYON 2014, simplement la CGT, elle, lit toujours les accords avant de signer !!!!

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