Cadre

Les cadres de proximité : en 1ère ligne, mais pas reconnus !

L’UGICT CGT, en lien avec la SECAFI vient de publier la 6° édition du baromètre annuel sur les cadres, dans un contexte de crise sanitaire, économique, sociale et environnementale inédit. Alors qu’ils ont un positionnement central dans les organisations du travail, une expertise et une forte technicité, les cadres de proximité s’estiment non reconnus dans leur travail. La période actuelle ne fait qu’aggraver ce ressenti.

ABSENCE DE RECONNAISSANCE ET AUSTERITE SALARIALE

Les cadres de proximité expriment un manque de reconnaissance criant au regard de leurs responsabilités professionnelles qui ne cessent d’augmenter. Leur niveau d’implication dans le travail, la hausse de leur charge de travail, l’absence de feuille de route claire, les injonctions contradictoires, leur donnent un sentiment d’impuissance et de ne jamais pouvoir arriver au bout de leur mission. Les heures supplémentaires effectuées ne se comptent plus. Ils sont 49% à déclarer en effectuer.

Cela ne se traduit pas pour autant par une meilleure reconnaissance des qualifications, ni par une revalorisation salariale. Lorsque la reconnaissance intervient, elle se manifeste le plus souvent sous forme de reconnaissance sociale (67%). Viennent ensuite la reconnaissance par l’évolution professionnelle (31%), puis par le salaire (30%). Dans le secteur des télécoms la reconnaissance se place sous le signe de la modération salariale, comme à Orange où les NAO ont donné lieu à une Décision Unilatérale ou encore à Eutelsat à un gel des salaires pour 3 ans.

Pour être reconnus, les cadres veulent :

Un meilleur équilibre vie privée/vie professionnelle (63%) : À l’instabilité des organisations de travail et des situations individuelles s’ajoute un contexte de charge de travail importante. L’intrusion et l’usage actuel des outils numériques provoquent une intensification du travail. Cela prolonge le lien de subordination hors travail et efface les frontières spatio-temporelles 61% des cadres de proximité souhaitent disposer d’un droit à la déconnexion effectif afin de préserver leur vie personnelle et leur santé. Ces résultats traduisent une aspiration forte à pouvoir disposer d’un cadre de vie plus équilibré entre le travail et la vie privée.

Un meilleur salaire (56%) : La majorité des cadres de proximité considèrent que leur rémunération est en décalage avec leur implication, leur qualification et leur charge de travail. Près d’un sondé sur deux dit effectuer des heures supplémentaires. Ces heures sup’ ne sont ni payées, ni récupérées pour 37% des sondés (+4 points par rapport à 2019). Le temps de travail moyen des cadres est bien supérieur à 35h, avec 57% des sondés qui disent travailler plus de 40h par semaine, et 20% plus de 45h au mépris des durées maximum définies par la loi. Cela s’appelle du travail dissimulé. Ce pourcentage atteint 50% dans la fonction publique d’État.

Un contenu & un sens du travail pertinent (45%) : Les répondants sont 65% à estimer que les choix et pratiques de leur entreprise entrent en contradiction avec leur éthique professionnelle : souvent (16%), de temps en temps (49%). Ce chiffre est plus élevé dans le secteur public. Être confronté à une telle situation est une source importante de mal-être pour ces salariés. Conjugué à l’exposition d’autres facteurs, comme la surcharge de travail, le manque de reconnaissance, ou de soutien, cela peut conduire à la perte de repères et à l’épuisement professionnel. 53% des cadres de proximité souhaitent disposer d’un droit d’alerte dans le cadre de l’exercice de leurs responsabilités afin de pouvoir refuser de mettre en œuvre des directives contraires à leur éthique. Ce résultat témoigne de l’attachement de ces cadres au sens de leur travail, aux règles de leur métier et à leur professionnalisme, même dans un contexte de crise.

Des moyens tant humains que financiers pour mener un travail de qualité : L’absence de recrutement, de moyens tant humains que financiers met à mal l’organisation du travail. Les cadres ne veulent plus manager par la coercition. De plus, les injonctions contradictoires de la ligne hiérarchique reflètent soit un flottement au plus haut niveau, soit une incompréhension par la hierarchie.

Vos aspirations sont nos revendications ! L’Union Fédérale des Cadres de la CGT FAPT est aux côtés des cadres pour porter haut et fort leurs revendications.

Signez et faites signer la pétition en ligne pour :

  • Redonner du sens à notre travail et mettre fin aux injonctions contradictoires ;
  • Un meilleur équilibre vie privée-vie professionnelle et avoir accès au droit à la déconnexion
  • Des moyens tant humains que financiers pour mener un travail de qualité
  • Une revalorisation immédiate des salaires
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Flash Cadres N°831

En première ligne, mais pas reconnu.e.s !

L’UGICT-CGT, en lien avec la SECAFI, vient de publier la 6° édi-tion du baromètre annuel sur les cadres, dans un contexte de crise sanitaire, économique, sociale et environnementale inédit. Alors qu’ils ont un positionnement central dans les organisations du travail, une expertise et une forte technicité, les cadres de proximité s’estiment non reconnus dans leur travail. La période actuelle ne fait qu’aggraver ce ressenti.
La hausse de leur charge de travail, l’absence de feuille de route claire, les injonctions contradic-toires, leur donnent un sentiment d’impuissance et de ne jamais pouvoir arriver au bout de leur mission. Les heures supplémentaires effectuées ne se comptent plus et ils sont 49 % à déclarer en effectuer. Cela ne se traduit pas, pour autant, par une meilleure reconnaissance des qualifica-tions, ni par une revalorisation salariale. Lorsque la reconnaissance intervient, elle se manifeste, le plus souvent, sous forme de reconnaissance sociale (67 %). Viennent ensuite la reconnais-sance par l’évolution professionnelle (31 %), puis par le salaire (30 %). Dans le secteur des télé-coms la reconnaissance se place sous le signe de la modération salariale, comme à Orange où les NAO ont donné lieu à une Décision Unilatérale ou encore à Eutelsat à un gel des salaires pour 3 ans. Pour être reconnus, les cadres revendiquent en premier lieu : Un meilleur équilibre vie privée/vie professionnelle (63 %), un meilleur salaire (56 %) et un contenu et un sens du tra-vail pertinent (45 %). L’Union Fédérale des Cadres CGT-FAPT a décidé de lancer une pétition en ligne pour être entendue de nos entreprises. Signez et faites signer la pétition !
– https://www.petitions.fr/signatures/professionnellementengagessocialementresponsables/

 

Un scandale chasse l’autre

Une bonne connexion Très Haut Débit en 2022 est compromise par la gestion des opérateurs. La filière se développe avec un recours à la sous-traitance jusqu’au 6e rang et à des personnels venant de l’étranger payés 800€/mois et logés jusqu’à 6 par chambre !
En ruralité, où il y a du retard, le financement repose sur les collectivités (Territoires et Etat) par l’intermédiaire des Réseaux d’Initiative Pu-blique (RIP), l’État va abonder le Plan France Très haut Débit de 250 millions d’euros pour ces zones. Car, si la France est 1er pays d’Europe en termes de raccordements, ce constat est enta-ché par un réseau fibre abimé par une fibre de mauvaise qualité, à moindre coût, et par un manque d’entretien du réseau cuivre. Pour la CGT, l’État doit réguler la filière, elle demande, aussi, l’ouverture d’une négociation pour les per-sonnels afin de fixer un cadre de garanties col-lectives de haut niveau social.

Orange: des loyers en question

Dans le bilan 2019 des charges locatives, il ap-paraît que le loyer et les investissements repré-sentent 34 % du budget total de la restauration contre une norme comprise entre 5 à 10 %. Orange fait ainsi porter au budget restauration un montant qui devrait relever du budget lié à sa politique immobilière de regroupement des sites. La CGT demande un audit indépendant sur cette répartition inhabituelle, de réexaminer les loyers à la baisse et que les investissements soient pris en charge par Orange, dans le cadre de sa stra-tégie immobilière. Les élus demandent à la Di-rection plus de transparence sur l’utilisation des budgets dédiés à la restauration. Dans le cadre du recours au télétravail une subvention restau-ration, à hauteur de 5,55€/jour sera attribuée pour les mois de novembre, décembre, janvier et février.

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Flash Cadres N°827 - Novembre 2020

Adresse de la CGT au monde du travail

La France et le monde du travail font face à un péril inédit: crise sanitaire, économique, environnementale, sociale et menace terroriste….
Depuis le début, le gouvernement refuse de mettre en place une véritable stratégie de crise élaborée collectivement avec toutes les forces politiques et syndicales de ce pays.
La CGT exige des mesures immédiates pour lutter contre ces crises : la santé doit primer ; un moratoire doit être mis en place sur toutes les mesures de restructuration, délocalisations et licenciements ; Les aides aux entreprises doivent être conditionnées ; Des mesures immédiates doivent être mises en place pour empêcher l’explosion de la pauvreté ; Les salaires des « premiers de corvée » doivent être immédiatement augmentés ; Des moyens immédiats doivent être débloqués pour notre système de santé ; Les libertés doivent être garanties, notamment les libertés syndicales ; La France doit ratifier la convention 190 de l’OIT sur « La violence et le harcèlement dans le monde du travail » ; Les projets de réformes de l’assurance chômage et des retraites doivent être définitivement enterrés ; des négociations doivent s’ouvrir pour l’amélioration et la pérennisation de nos systèmes.
Ce sont des propositions pour un véritable « plan de rupture » pour garantir le « plus jamais ça! » et gagner la transformation en profondeur de notre société.

Une indécente hausse des dividendes
Orange a publié, ce 28 octobre, les résultats financiers du 3ème trimestre 2020.
Avec une hausse du chiffre d’affaires de près de 1% et un Ebitda supérieur aux attentes, les résultats du groupe démontrent la résilience des activités Télécom.
Alors que le pays connait pour la 2ème fois un confinement et que les salariés du groupe sont de nouveau mobilisés, Orange fait le choix d’augmenter de 30 à 40 centimes l’acompte du dividende versé aux actionnaires en décembre, soit une hausse de 33% pour une rallonge budgétaire de 250M€ soit quatre fois le budget NAO 2020 ! Cette décision scandalise les salariés du groupe mis au régime sec en 2020 et au moment où 3000 emplois vont être détruits, au prétexte de contexte économique dégradé. La mise en œuvre du plan stratégique « engage 2025 » s’accélère car plus d’un 1 milliard net d’économies doit être réalisé au détriment de l’emploi, des salaires et des conditions de travail.

Recrutements, une urgence !
Depuis sa privatisation, France Télécom devenu Orange, connait un grand nombre de plans (NEXT, ESSENTIEL 2020 et engage 2025), de restructurations, de mutualisations, d’externalisations et a perdu, en 20 ans, plus de 80 000 emplois.
Ces chiffres inquiétants ainsi que le recours massif à la sous-traitance interpellent. En interne, il ne reste que les dossiers complexes qui demandent de l’expertise.
Localement, les managers sont en difficulté car ils ne peuvent répondre aux sollicitations des salariés. Le plan engage 2025 pour ne pas dire « dégage 2025 » poursuit ce désastre et la direc-tion utilise la crise sanitaire pour accélérer le processus en s’attaquant à la relation clients, aux horaires des boutiques, à la fusion des UI et à la bascule de certaines activités des UPR vers les UI, etc. De nombreux salariés se trouvent en difficulté! Avec la CGT réclamons des emplois !

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Flash Cadres 826

Une société unie et fraternelle

L’école publique et laïque n’est pas faite que pour apprendre à lire, écrire et compter. C’est un lieu où toutes et tous accèdent au savoir, à la culture et à la réflexion et ce quelque soit son origine. Il ne s’agit pas seulement d’apprendre par cœur des textes et des maximes. Il s’agit de donner, à tous les jeunes, les moyens de maîtriser leur avenir. Il s’agit d’apprendre à développer leur esprit critique et leur propre réflexion. C’est la condition, sine qua non, pour devenir citoyen et faire vivre la démocratie dans son pays, dans le monde et ce dans le respect de chaque individu et de ses croyances personnelles.
C’est en ces valeurs que des professeurs, tel que Samuel Paty, croient et c’est pour cela qu’ils font ce métier. S’attaquer à l’un d’entre eux, c’est s’attaquer à toutes celles et ceux qui portent une République unie et fraternelle, diverse et respectueuse, éclairée et apte au débat démocratique. L’intégrisme, quel qu’en soit la religion, ne peut qu’aboutir à l’obscurantisme et au recul de la démocratie.
Parce que c’est le devenir même de la République et de notre Nation qui est en jeu, et avec elles une part de celui du monde, que nous appelons l’ensemble des citoyens à réfléchir et débattre sur la nécessité d’une Ecole Publique et laïque forte, formant des citoyens libres et égaux entre eux, accessible à toutes et à tous, en tout point du territoire.

Maitriser nos activités !
Satisfaire les marchés financiers via les dividendes (soit un milliard d’€ d’économies sur le dos des salariés), raison d’être d’Orange ?
La crise sanitaire bouleverse toutes les prévisions stratégiques sauf celles d’Orange et de son plan « Engage 2025 » ou plutôt « Dégage 2025 » !
La CGT dénonce les restructurations qui consistent toutes à réduire les effectifs (-11% et -8.400 ETP d’ici 2022) et flexibiliser encore le personnel restant, en externalisant et digitalisant toujours plus.
La CGT exige un plan d’embauches ambitieux de jeunes, le remplacement de tous les départs, la ré-internalisation des activités/emplois sous-traités, omniprésents dans les centres d’appels et l’intervention client : ainsi la construction du réseau FTTH et des installations clients sont sous-traitées à près de 100%.

Le Handicap n’est pas un affichage !
Orange compte 5000 salariés en situation de handicap répondant ainsi au taux légal du 6% d’emplois, dont 56% ont plus de 55ans !
Des négociations triennales se sont ouvertes avec des propositions de la direction en deçà des accords précédents: pas de lisibilité budgétaire, des données non chiffrées, pas de continuité du TPSH dans les conditions actuelles, pas de moyens pour lutter contre les discriminations etc. La CGT propose un recrutement à hauteur de 3,4% ou a minima de 150 CDI, de 360 alternants, la création de cursus de professionnalisation spécifiques, le renforcement des correspondants handicap et de la Mission Insertion Handicap, des formations de sensibilisation pour les managers et les salariés, un plan de fin de carrière adapté, un plan de préventions et d’actions contre les discriminations, la mise en œuvre du

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Flash Cadres N°825

Pseudo plan:

François Bayrou s’est vu confier une lettre de mission concer-nant les grandes orientations du nouveau Haut Commissariat au Plan par le président de la République.
La mise en place d’une planification, est une revendication de longue date de la part de la CGT.
Nous avons besoin d’une boussole, pour permettre de donner une direction nette à la transition écologique, prendre en compte dans un même mouvement urgence sociale et environnemen-tale et rendre opérationnel ce besoin.
Le haut commissariat au plan devrait être un espace de ré-flexion qui permettrait de flécher l’investissement et l’emploi vers les projets d’avenir soutenables en déterminant les besoins, en discutant de moyens, en chiffrant.
Ce plan devrait devenir impératif. Or, il n’en est rien. Le courrier d’Emmanuel Macron commence par ceci : « la planification au sens chiffré, impératif, fixant des objectifs, domaine par domaine, de la production na-tionale […] n’est plus adaptée à notre temps ».
Nous ne connaissons pas une seule entreprise (si chère à notre Président) qui n’ait pas une stratégie chif-frée et qui ne se donne pas d’objectifs.
Quel est donc l’intérêt de discuter « dans l’abstrait » des grandes orientations du pays, si elles ne se tradui-sent par rien de concret ? Il manque à ce plan substance, ambition et projet clair et n’est qu’un nouveau tour de passe-passe.
En fait, notre gouvernement va continuer sa politique court-termiste en faveur des grandes entreprises, sans rien changer sur le fond.

Le télétravail doit répondre au contexte
En août, les élus CGT d’Orange, alertaient la direction sur un retour massif des salariés sur sites, face à une circulation exponentielle du co-vid 19.
En réponse, la direction étendit le télétravail occa-sionnel à 3 jours/semaine dans les territoires les plus touchés. A ce jour, plusieurs milliers de dos-siers de renouvellement ou de demandes de télé-travail régulier sont en cours d’instruction, la di-rection doit y réponde sans attende l’ouverture de négociations sur le télétravail…
Pour la CGT, le télétravail occasionnel doit être encadré par le respect des horaires où le salarié est joignable, la prise en charge du déjeuner et des flux liés à l’utilisation du domicile, ainsi que la possibilité de travailler dans un tiers lieu proche du domicile si ce dernier n’est pas adapté, enfin, chacun.e doit pouvoir exercer un télétravail à temps plein.

Index Egalité, une provocation !
La direction d’Orange se réjouit d’afficher 99 points sur 100 dans le groupe à l’Index Egalité salariale Femmes-Hommes. Mais à l’ouverture des négociations Egalité Orange SA, fin sep-tembre, le bilan triennal laisse apparaître des différences importantes en matière de recrute-ments, de promotions et de salaires.
La CGT a alerté sur l’index Egalité qui ne reflète pas la réalité car une partie des écarts de rému-nération ne rentre pas dans l’index. Par exemple, au lieu de comparer le montant d’augmentation annuelle, on compare le pourcentage de femmes et d’hommes augmentés.
Une entreprise qui a 10% d’écart de rémunération peut se prévaloir d’une note de 90/100 !
Le gouvernement impose la publication d’une note globale qui dissimule les écarts salariaux.
La direction réaffirme que l’égalité professionnelle est une de ses priorités, qu’elle le prouve !

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LA CGT FAPT PROPOSE

Préambule : Ces repères revendicatifs ne sont pas un recueil de propositions mais un outil permettant aux salariés d’élaborer eux-mêmes leurs revendications dans les services avec leurs représentants CGT.

Défendre le statut cadre et l’améliorer au moyen de 4 leviers :

  • Temps de travail

Non seulement la CGT est mobilisée pour gagner un véritable droit à la déconnexion, mais ses militants cadres estiment que les forfaits jours ont souvent pour  conséquence une augmentation de la charge de travail, ce qui ne permet pas un travail de qualité.

  • Egalité Professionnelle

Elle ne peut se résumer au nombre de femmes au Conseil d’administration. La CGT ne se résigne pas  au plafond de verre qui cantonne les femmes cadres dans les premiers niveaux de classification. Nous proposons d’agir sur  2 volets : Des mesures  de rattrapage salarial, parts variables comprises, et le déroulement de carrière.

  • Management

Pourquoi considérer la méthode agile et le management collaboratif comme les nouveaux « totems » alors que la CGT et son Ugict portent une vision alternative du management ?

  • Reconnaissance des qualifications

Pour la CGT, il s’agit d’un point essentiel qui s’appuie sur des salaires de recrutement qui reconnaissent  les diplômes, ainsi que la valorisation tout au long de la carrière des qualifications acquises notamment grâce à la formation professionnelle.  Le statut cadre est essentiel dans la portabilité des droits acquis tout au long du parcours professionnel. C’est pour ces raisons que la CGT n’a de cesse de défendre, par exemple la garantie, par une retraite complémentaire par répartition et spécifique, de percevoir un revenu de remplacement préservant le pouvoir d’achat des cadres au moment de la retraite.

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