Vie au travail

USC : 1 an de désillusion

Si l’USC souffle sa première bougie ce 3 mai 2022, elle a surtout vendu du rêve aux salariés qui se retrouvent aujourd’hui de plus en plus en souffrance et en manque de reconnaissance. C’est le retour du flicage et de la pression par les chiffres, la poly compétence à outrance, le transfert d’activité vers la sous-traitance pour ne pas recruter et tenter de régler le problème d’adhérence des flux.

L’entreprise continue de nous faire vivre une expérience des salariés détestable :
– La baisse des effectifs de 34% en moins de 10 ans, soit 7409 emplois
– Tout juste 1 départ remplacé sur 10
– Un rapport des médecins du travail alarmant
– Des problèmes de matériels et moyens mis à dispositions qui restent encore à régler
– Des retours sur sites qui peinent à reprendre, car comment donner du sens sur le présentiel lorsque le collectif de travail n’est plus ?
– Des périmètres en augmentation et nécessitant sans cesse plus de déplacements
– Des effectifs de plus en plus fragmentés
La situation en est arrivée à un tel point que le télétravail et le TPS sont aujourd’hui devenus des « échappatoires ». Les projets de réorganisation, l’évolution des espaces de travail, la qualité diminuée et les formations @learning ont des impacts négatifs. Les salariés isolés ne se retrouvent plus dans leurs nouveaux métiers, ce qui engendre une perte de sens au travail. Les salariés de l’USC sont victimes de la politique de non-remplacements des départs chez Orange. La surcharge de travail et obtenir ses congés souhaités est de plus en plus compliqué pour ceux qui restent !

L’ambition de la direction nous promettait un voyage de 12 mois en mer calme, mais force est de constater que L’USC n’est plus un voilier, c’est le radeau de la Méduse ; avec son commandant fier et arrogants, mais surtout piètre navigateur.
Le bateau va finir par s’échouer sur le sable !

Exigeons une véritable répartition des richesses produites par les salariés,
la ré-internalisation des activités et des salariés de la sous-traitance le nécessitant, les recrutements nécessaires, à parité Femmes/Hommes, afin de garantir la réponse aux besoins des usagers, permettant l’amélioration des conditions de vie et de travail et de l’équilibre vie privée-vie professionnelle,
une réelle reconnaissance des qualifications et de l’expérience à laquelle l’accord ARCQ ne répond pas.

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Négo Nationale Accord Télétravail La Direction met le feu aux poudres !

Arrivés à la dixième séance de négociation, Orange met cartes sur table :
« L’entreprise a mis tout le budget disponible pour les salariés sur les NAO et n’a plus d’argent pour la revalorisation de l’indemnité de télétravail! »
Quelle mascarade !

Après le fiasco des NAO, les économies se prolongeront sur le télétravail !
Rappelons simplement que les NAO sont un échec complet pour l’entreprise :
-Pas de prise en compte des impacts réels de l’inflation
-Pas de rattrapage pourtant promis lors des négociations de l’année dernière.
-51€ versés en dividendes aux actionnaires pour 1€ donné aux salariés en 2021, soit 1,9% des bénéfices reversés aux salariés, c’est le choix d’Orange pour motiver ses troupes et les récompenser pour leur effort qui n’ont pourtant pas été négligeable durant toute cette crise sanitaire. Au passage, avec sa décision unilatérale, la Direction réalise une économie supplémentaire de 10M€ sur le dos des salariés !!! Voilà la réalité des NAO 2022 !
Pourquoi organiser des négociations si il n’y a rien à négocier ?
La direction n’aurait pas reçu mandat pour augmenter la « prime » télétravail définie en 2017, faisant fi des contraintes réelles du télétravail et du report de charges qu’il représente pour les salariés ! La CGT considère d’ailleurs qu’il ne s’agit pas d’une prime, mais d’une indemnisation des frais engendrés par le télétravail. Ce sont des frais professionnels dont la loi impose le remboursement.
Une explosion des charges en télétravail non prise en compte…
Depuis 2017, le prix de l’électricité a augmenté de 25%, celui du gaz de 90%, celui de l’immobilier de 20%… L’indemnité télétravail doit donc naturellement être revue à la hausse très sensiblement. L’Urssaf donne à titre indicatif le barème de 10 euros par mois pour un salarié effectuant une journée de télétravail par semaine. Pour un salarié à 100 % en télétravail, cette allocation passe donc à 50 euros par mois. Si elle respecte ce barème, l’allocation forfaitaire est exonérée de cotisations et contributions sociales…ce qui ne devrait pas manquer d’intéresser nos dirigeants. Actuellement chez Orange, une journée de télétravail est indemnisée seulement 1€25 !
L’attitude de la direction est donc à nos yeux un pied-de-nez à l’encontre des salariés télétravailleurs, d’autant que la NAO est un accord annuel alors que le télétravail est à durée indéterminée !
L’inscription de ce montant ridicule, dans le texte d’accord télétravail, laisserait le loisir à la direction de ne jamais revenir sur cette somme.

Les négociateurs CGT quittent la séance pour exiger une vraie négociation…
Les négociateurs CGT ont quitté la séance, non sans avoir revendiqué 90€/mois pour un télétravail de 3 jours par semaine, régulier ou occasionnel soit 7,50€ par jour.
La direction doit revenir à la raison avec un mandat véritable pour que nous revenions à la table de discussion ! Les salariés devront se mobiliser contre cette nouvelle injustice qu’ils ne peuvent pas laisser passer en pleine inflation et perte de pouvoir d’achat! Sans parler du fait que la direction profite de ce télétravail pour opérer des gains énormes sur l’immobilier en tentant de rassembler tout le personnel de chaque ville ou région sur un minimum de sites Orange. Le plan Scale Up prévoit à lui seul de réaliser 350 M€ d’économie sur l’immobilier…L’entreprise pousse avec insistance les salariés vers le télétravail mais refuse de mettre les moyens matériels et financiers pour qu’il puisse s’effectuer dans de bonnes conditions.

Pour la CGT, les revendications suivantes doivent être prises en compte :
– Une indemnisation du télétravail prenant en compte les charges réelles des télétravailleurs (électricité, internet, chauffage, prorata de loyer ou acquisition en fonction des m² alloués au télétravail…)
– Une indemnisation indexée chaque année sur l’évolution des charges
– La prise en charge du matériel garantissant un poste de travail équivalent à celui occupé sur site
– L’accès au télétravail pour tous ceux qui en font la demande sans conditions managériales restrictives (nombre de jours, jours fixes imposés par le management, autonomie remise en causes)
Ces revendications ne sont pas exhaustives et nous tenons à votre disposition l’ensemble des revendications de la CGT sur l’exercice du télétravail.

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Orange collaborative

Depuis quelques mois, les salarié.e.s voient arriver sur leur poste de travail de nouveaux outils bureautiques, imposés par l’entreprise et basés, une fois de plus sur la suite Microsoft. Si l’arrivée d’outils à jour est toujours appréciable, le choix de ces logiciels propriétaires (Outlook, Word, Powerpoint, Teams …) pose plusieurs questions, tant sur la technologie elle-même que sur les impacts sur l’emploi et les conditions de travail.

En effet, la technologie de la suite Office 365 est basée sur l’emploi d’un cloud propriétaire dont les salarié.e.s ne connaissent pas les conditions d’usage (lieux de stockage, règles de confidentialité, souveraineté). Les documents de l’entreprise que les salarié.e.s stockent sur ce cloud sont-ils soumis à la législation permettant au gouvernement américain d’y accéder (Cloud Act) ? Comment en garantir alors une véritable confidentialité ? Qui en portera la responsabilité le cas échéant ? Quel impact sur le secret industriel ?
Par ailleurs, quel sera l’impact de ce déploiement sur l’emploi à terme dans le groupe alors que l’arrêt de nombreux outils est déjà annoncé ? Entre autres, l’arrêt des solutions qui avaient été développées en interne, comme Coopnet. Sommes-nous face à une nouvelle externalisation de fonctions qui étaient assurées par des salarié.e.s du groupe au profit d’une multinationale dont le support pourra se trouver aux quatre coins du monde ? Que vont devenir les développeurs des solutions internes et les acteurs de la chaîne de soutien ? Est-ce encore un de ces projets pilotés exclusivement par l’aspect financier court-termiste dont l’entreprise semble se gargariser pour remplir les poches des actionnaires ?
Enfin, quelles sont les conséquences de l’introduction d’une telle suite logicielle sur les conditions de travail ? Teams propose ainsi des solutions de visio intégrées, accompagnées des injonctions du management à les utiliser en toutes circonstances, y compris lors d’appels où le recours à l’image est inutile, sauf à contrôler visuellement ce que font les salarié.e.s, par exemple, en télétravail ! Pour rappel, ce genre de changements appelle une consultation des salarié.e.s et des Commissions Sécurité, Santé et Conditions de Travail (CSSCT) qui ont encore une fois été oublié.e.s.

Pour la CGT, l’introduction de nouveaux outils doit être à l’initiative du/de la salarié.e et non d’un déterminisme technologique partagé par les parties prenantes du domaine d’activité : l’innovation au cœur de l’entreprise construite par les humains qui la composent. Les logiciels nés de l’informatisation doivent avant tout améliorer les conditions de travail et permettre la réduction du temps de travail des femmes et des hommes, en commençant par la semaine de 32h défendue par la CGT !

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NOUVELLE USC Nouvelle gestion des congés

La fusion des SCO et UAT devient prétexte pour la Direction à toutes formes d’uniformisations des pratiques, à commencer par la revisite de votre gestion des congés.

Parfois non présentée aux salariés et aux représentants du personnel, imposée dès janvier, quelquefois, sans même une explication !
Ainsi, soumis à de nouvelles règles depuis ce début d’année, cela devient du grand n’importe quoi !

Ni les salariés, ni les managers ne s’y retrouvent :
– Une surcharge pour les managers
– Des souhaits à faire 5 mois à l’avance
– 3 semaines et pas plus maximum sur la période estivale ! sauf dans quelques rares situations s’il reste de la place
– Une gestion plus complexe, sur des périmètres représentants des quarts de France, entre collègues qui ne se connaissent pas toujours
– Une non-communication à tous les salariés de la liste des priorités de leur GT, si le cas échéant elles devaient jouer
– Des nouveautés non expliquées aux salariés (jours jokers, samedis hors contingent…)

Les salariés de l’USC sont victimes de la politique de non-remplacements des départs chez Orange. Obtenir ses congés souhaités sera de plus en plus compliqué pour ceux qui restent !

Pour tracer et se donner des moyens de pression à la discussion, la CGT vous propose de déposer impérativement vos demandes
dans Anoo avec un commentaire «souhait en attente d’acceptation ».
La CGT vous rappelle que vous avez le droit de souhaiter obtenir des congés sur les 365 jours de l’année.
La VRAIE REGLE officielle reconnue par l’entreprise est de déposer vos congés 8 jours avant leur prise d’effet dans ANOO. Tout refus devant être motivé et justifié dans l’outil !

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Dans le cadre des négociations télétravail, la CGT porte un certain nombre de revendications et est vigilante sur de nombreuses choses.

La négociation sur l’accord télétravail est en cours. Après quelques séances, il en ressort un certain nombre de points d’attention pour la délégation, bien que nous ne soyons qu’au début du processus.

D’abord, la question des situations exceptionnelles. Plusieurs organisations souhaitent que cette question soit un élément central du futur accord. Il s’agit d’inscrire dans le texte les modalités d’exécution du télétravail dans toutes les circonstances exceptionnelles possibles (pandémie, trouble climatique, etc.). Notre délégation s’oppose à l’inscription de ces dispositions dans l’accord pour deux raisons majeures :
• La mise en place du télétravail exceptionnel est une décision unilatérale de l’entreprise quand bien même elle vise à satisfaire des directives gouvernementales : c’est donc à l’entreprise d’assumer ses responsabilités d’employeur liées à la mise en place de ces mesures, en termes de santé, de conditions de travail, d’indemnisation, de durée pour les salariés
• Prévoir l’exceptionnel est une chimère : la diversité des situations ne peut pas faire l’objet d’une description dans un accord et donc envisager des dispositions pertinentes à des situations non prévisibles. En effet, quel point commun entre la situation pandémique et l’effondrement d’une route de montagne, ou encore des inondations ?

De notre point de vue, ces dispositions ne visent qu’à diluer la responsabilité de la direction en cas de situations exceptionnelles et à la faire reporter sur les salarié.e.s.

Ensuite, les premières versions de travail de l’accord proposées par la direction semblent vouloir céder aux caprices de la direction immobilière groupe en inscrivant l’idée d’un flex office généralisé : dès lors qu’un.e salarié.e est en situation de télétravail, alors il ou elle doit de fait accepter de mettre à disposition son espace de travail sur site à d’autres personnes. Jusqu’à présent, cette disposition était soumise à l’approbation des salarié.e.s. Notre délégation considère qu’il s’agit là d’un point de blocage dans l’accord en cours de révision et sera vigilante à ce que de telles dispositions, qui sont relatives à l’exercice du travail sur site et non à l’exercice du télétravail, ne soient pas inscrites dans l’accord.

Par ailleurs, plusieurs mentions nouvelles sont inquiétantes, comme un durcissement des conditions de télétravail pour certains métiers, comme ceux de la relation client, imposant de disposer d’une pièce fermée et dédiée, soi-disant pour assurer la confidentialité. En réalité, de telles dispositions ne sont déjà pas appliquées au travail sur site, majoritairement exercé dans des openspaces où la notion de confidentialité est tout simplement inexistante. Une fois de plus, la délégation sera vigilante à ce que de telles restrictions ne puissent être inscrites dans l’accord.

Enfin, la question environnementale reste un sujet que la direction ne veut pas aborder, malgré nos demandes insistantes. Si le télétravail est conçu par la direction comme un facteur de réduction de son empreinte carbone, qu’en est-il du report de la charge environnementale et financière sur les salarié.e.s à leurs domiciles ? Comment s’articuleront les modalités de déplacement des salarié.e.s alors que potentiellement les abonnements aux transports en commun ne seraient plus financièrement attractifs pour les salarié.e.s ?

Si la négociation commence à aborder les points durs de l’accord, dont la question de l’indemnisation du télétravail et la mise à disposition des matériels nécessaires, le chemin semble encore long et laborieux. Vous pouvez compter sur la détermination de vos négociateurs.trices CGT pour que l’accord soit réellement plus favorable aux télétravailleur.se.s sans porter préjudice aux salarié.e.s qui ne choisiraient pas cette modalité de travail.

Les 10 principes incontournables de la négociation pour la CGT :
• L’interdiction d’imposer du télétravail individuellement ou collectivement (pas de télétravail imposé collectivement pour fermer des sites sur certains jours) ;
• Le maintien d’un poste de travail attribué à chaque salarié : la validation d’un avenant de télétravail ne doit pas être subordonné à une acceptation par le salarié du « partage » de sa position de travail ;
• Le télétravail ne doit pas être un moyen de pression sur les salariés : ce n’est ni un privilège ni une gratification ;
• L’accord doit s’appliquer dans son intégralité à l’ensemble des salariés qui font une demande de télétravail. Concernant les métiers et activités qui seraient exclus de l’accord par l’entreprise car jugés non compatibles, nous exigeons :
o des critères objectifs, mesurables pour justifier la non éligibilité ;
o des diagnostics et expérimentations pour ces métiers et activités afin de proposer des solutions de télétravail ;
• Un télétravailleur ne peut pas être discriminé dans son avancement, sa mobilité, sa rémunération, sa formation … ;
• L’interdiction des discriminations pour la validation d’avenant de télétravail pour les salariés à temps partiel, avec enfants, les aidants familiaux… ;
• L’interdiction de toute pratique intrusive et spécifique de contrôle de l’activité et de la productivité des télétravailleurs (dispositif de surveillance auditive ou visuelle, captation de données du télétravailleur, etc…), interdiction d’imposer un contact visuel… ;
• La mise en œuvre de mesures de prévention et de protection des victimes de violences intrafamiliales ;
• Les mêmes droits, obligations, objectifs en télétravail que sur site : respect des horaires de travail, pause méridienne, droit à la déconnexion, prise en compte des accidents du travail, prise en compte des heures supplémentaires y compris pour les cadres… ;
• Une indemnisation compensant réellement les frais engagés dans le cadre de l’activité professionnelle (électricité, chauffage, abonnement internet, assurance si nécessaire etc…) et réévaluée annuellement en fonction de l’inflation

Ce que porte la CGT
en plus au cours de cette négociation :
• Au moins deux adresses possibles pour l’exécution du télétravail ;
• L’augmentation de l’enveloppe budgétaire allouée à la restauration pour permettre le maintien de la restauration collective sur sites et la reconduction du système d’indemnités repas forfaitaires journalières ;
• La mise à disposition d’équipements (chaise, bureau, écrans, caisson, imprimante, etc.) permettant d’avoir un confort équivalent à celui sur le site Orange et assurant la prévention des troubles musculo-squelettiques …
• Une souplesse pour les salariés dans le rythme de télétravail accordé : par exemple possibilité de faire une semaine complète de télétravail dans le mois, ou d’adapter les semaines au rythme des gardes alternées pour les parents divorcés, ou un nombre de jours sur le mois …

En cas de demandes pouvant aller jusqu’à 5 jours de télétravail par semaine, des solutions seront proposées pour les salariés dans les situations telles que : déménagement du conjoint, salariées enceintes, salariés en situation de handicap, aidants familiaux, temps de transport très important …Aujourd’hui, les premières négociations posent déjà des problèmes sur l’exécution d’un télétravail exceptionnel, les impacts environnementaux ou encore le durcissement des conditions d’exercice du télétravail pour certains métiers, ainsi que les dégradations des conditions de travail sur site.
Chaque salarié doit pouvoir s’exprimer sur ses attentes dans les services et auprès de la CGT qui les remontera. Vous pouvez compter sur la détermination de vos négociateurs.trices CGT pour que l’accord soit réellement plus favorable aux télétravailleur.se.s , sans porter préjudice aux salarié.e.s qui ne choisiraient pas cette modalité de travail. Et notamment en ce qui concerne la question des indemnités !

La CGT appelle l’ensemble des salariés à se mobiliser le 27 Janvier lors de la journée d’actions interprofessionnelles

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LA CGT FAPT PROPOSE

Préambule : Ces repères revendicatifs ne sont pas un recueil de propositions mais un outil permettant aux salariés d’élaborer eux-mêmes leurs revendications dans les services avec leurs représentants CGT.

La CGT se bat pour une vie au travail qui permette à chaque salarié d’Orange de vivre dignement avec la reconnaissance, le bien-être comme éléments essentiels qui doivent être pris en compte par la direction.

À partir des besoins exprimés par les salariés, la CGT FAPT utilise toutes ces instances pour une véritable prise en compte par la direction pour répondre aux besoins exprimés :

Pour cela, la CGT FAPT propose :

  • L’arrêt des restructurations/fermetures de site,
  • La diminution de la charge de travail par l’embauche de personnels,
  • La reconnaissance des qualifications,
  • La prise en compte de l’évolution des métiers dans les qualifications
  • Des mesures corrigeant véritablement les inégalités salariales entre les femmes et les hommes,
  • Les 32h avec le maintien de salaire, grâce aux gains de productivité créés par la digitalisation afin améliorer les conditions de travail,
  • La ré-internalisation des activités sous-traitées et les emplois qui y sont liés,
  • La dépose des boitiers de géolocalisation des voitures Orange,
  • Le droit à la déconnexion,
  • Reconnaissance, prévention et réparation de la pénibilité pour l’ensemble des métiers,
  • Une formation de qualité pour tous,
  • Fixation du contingent d’heures supplémentaires et de leur niveau de rémunération sans dérogation défavorable par accord collectif,
  • Le respect de l’équilibre vie privée / vie professionnelle,
  • Le respect des données et de la vie privée des salariés,
  • L’ouverture de véritables négociations sur l’organisation du travail.

BULLETIN DE CONTACT ADHÉSION

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