ÉTABLISSEMENT DO Ile de France

6 bonnes raisons de voter CGT au CE de la DO IDF

Du 7 au 9 novembre 2017 pour mon CE DO IDF

  • Je vote pour la représentativité de la CGT !
  • Je vote pour une organisation syndicale qui ne signe que des accords favorables aux salarié-e-s !
  • Je donne du poids aux élu-e-s  CGT !
  • Je donne mon avis pour qu’il soit porté par les élu-e-s CGT ! 
  • Je vote pour le respect des électeurs et de leurs choix !
  • Je vote pour des  activités sociales et culturelles de proximité !

Pour en savoir plus, téléchargez notre profession de foi ci-dessous.

En complément…

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Comité d'établissement DO IDF du 28 août 2017

Déclaration préalable de la CGT (extrait)

Les dossiers que nous allons étudier ce jour en CE montrent clairement :

L’importance cruciale d’IRP distinctes et de leur articulation : pourrions-nous étudier ces dossiers sous leur seul aspect économique si nous devions cumuler les prérogatives des DP et des CHSCT en plus de nos prérogatives CE ? Pourrions-nous les étudier sérieusement sous ces trois axes ou serions-nous contraints à une lecture superficielle, sachant qu’il s’agit de la vie de nos collègues et non de chiffres alignés dans des colonnes ?

La sécurité au travail de nos collègues n’exige-t-elle pas le regard spécifique et distinct du CHSCT ?

L’efficacité sociale au quotidien n’exige-t-elle pas le regard spécifique et distinct de la proximité d’un DP ?

L’efficacité économique et sociale à long terme n’exige-t-elle pas le regard spécifique et distinct du CE ?

Devons-nous devenir des professionnels du syndicalisme qui passent leur temps avec la Direction, ou rester implantés dans les services pour remonter les exigences des salariés et leurs rendre compte ?

L’importance cruciale de la prépondérance de la loi sur tout accord collectif, comme de l’accord de branche sur l’accord d’entreprise : l’accord sur l’accompagnement de la fermeture du site Massy-Londres de l’UIPP précise bien qu’il « ne peut avoir pour objet ni pour effet de priver les salariés concernés des dispositions législatives, réglementaires et conventionnelles plus favorables ».

Dans un contexte loi Travail XXL, faudra-t-il une lutte sociale pour permettre d’inscrire dans les accords ce qui semble aujourd’hui si naturel ?

L’importance cruciale du monopole des organisations syndicales de salariés pour négocier au nom des salariés. Les OS sont comptables de ce qu’elles disent et font devant les salariés, et non devant la Direction. Il n’existe aucun lien de subordination entre l’entreprise et les OS : ces dernières sont réellement maîtresses de leurs décisions.

C’est pourquoi la CGT, qui est à priori défavorable à toute fermeture de site, a consulté et suivi les directives des salariés du site Massy-Londres de l’UIPP : la CGT a signé l’accord parce que les salariés lui ont demandé de le faire.

Il en fut de même pour la fermeture du site d’Ivry du SCO, après une lutte âpre menée par les salariés du SCO soutenus par une intersyndicale.

En serait-il de même pour un « négociateur » isolé face à son propre Directeur ?

La réalité est qu’il est déjà très difficile de gagner une politique sociale digne de ce nom à Orange, et ce quels que soient les résultats et la profitabilité de l’entreprise. Alors quid de ce que ferait Orange dans le contexte d’une loi Travail XXL, sachant que son pouvoir économique s’étend non seulement sur le groupe mais aussi sur la multitude de sous-traitants et donc sur leurs employés ?

Avec la primauté des accords d’entreprise sur les accords de branche comme sur la loi, seul le rapport de force employés / employeur interne à l’entreprise permettrait d’éviter les reculs sociaux, de gagner de nouveaux droits, des augmentations de salaires, des emplois… La mobilisation des salariés en interne en deviendrait à chaque échéance plus importante que jamais.

C’est pourquoi :

La délégation CGT au CE de la DO IDF propose ce jour aux élu-es d’adopter une déclaration commune relative à la sauvegarde des IRP, et singulièrement des CE.

La CGT invite les salariés de la DO IDF, d’Orange SA, du groupe Orange et de ses sous-traitants à se mobiliser massivement dès le mardi 12 septembre.

 

Principaux points à l’ordre du jour :

  • Consultation sur le projet de fermeture du site Massy Londres de l’UI PP.
  • Information sur le rapport trimestriel à l’emploi : T1 2017.
  • Bilan du travail à temps partiel sur l’année 2016.
  • Information Consultation sur le bloc 3 : consultation sur la politique sociale, emploi et conditions de travail 2016.
  • Bilan formation 2016
  • Rapport annuel sur l’emploi des personnes en situation de handicap
  • Rapport annuel sur la situation comparée des femmes et des hommes

Pour en savoir plus, téléchargez notre compte-rendu ci-dessous.

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Les News CGT de l'AD IDFC août 2017

Vos élus CGT font un point sur les différents dossiers et actions engagés sur l’AD IDF Centre.

C’est partir des remontés des salariés que les représentants du personnels et les membres du CHSCT ont interpellé la direction de l’AD sur les sujets suivants :

 

  • PVC : La CGT obtient une compensation financière pour les conseillers commerciaux de la boutique d’Opéra.
  • Tenues imposées à Opéra : Les élus CGT du CHSCT interpellent la direction sur les tenues d’Opéra adaptées.
  • Suppressions de postes à l’ADIDFC : La CGT alerte la Direction et obtient des recrutements.
  • Homelive : L’utilisation des caméras homelive pour contrôler l’activité des salariés dénoncée par les élus CGT et immédiatement interdite suite à notre intervention.
  • Vie privée/vie professionnelle : Les élus CGT interviennent régulièrement pour des cas individuels problématiques et obtiennent gain de cause.
  • Prise en charge financière des frais de nettoyage des tenues vestimentaires : Les élus CGT interviennent, la Direction fait volte-face !!
  • Retour d’un congé maternité ou parental : L’entreprise garantit un maintien de PVC pendant deux mois mais également un rattrapage du salaire de base.

Télécharger notre tract

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Sabordage patronal ou progrès social ?

 

Lors de la présentation de son plan schéma directeur immobilier (PSDI), la direction a déclaré qu’à l’horizon 2020-2025, tous les salariés actuellement en poste sur Paris et première couronne seront déménagés dans de grands bâtiments, situés en première couronne au sud et à l’est de Paris (à l’image d’Orange Village ou Stadium). Seules exceptions à la règle : les « stores » et les sites de rattachement des techniciens des UI, en « adhérence directe » avec les clients.

Les choix d’adhérence directe avec le client nous inquiètent car cela élargit les périmètres d’intervention et renforce la désertification dans certains secteurs, le 93 notamment. Les clients sont-ils demandeurs ? Quid du volet social ? C’est une casse sociale sans précèdent. En faisant le choix de déplacer massivement les salariés, la direction les fragilise en brisant tous leurs repères. Et que dire de l’équilibre vie privé-vie professionnelle ?

La majorité des salariés va devoir effectuer des trajets de banlieue à banlieue (le cauchemar des franciliens).
C’est pourquoi la CGT a demandé une projection d’ici à 2020, avec notamment :
– une cartographie des lieux d’habitation des salariés à date et en lien avec chaque PSDI à venir.
– l’ensemble des dates de fin de baux
– un suivi des coûts des déménagements successifs des salariés.

Sans vergogne, la direction répond ne pas avoir travaillé ces aspects. Réponse inacceptable : les salariés ne sont pas des pions que l’on déplace comme on veut quand on veut ! Ils doivent être informés et consultés. La CGT rappelle enfin que la négociation du futur PDE doit tenir compte de ce projet (et des prochains à venir) avec notamment le remboursement à 100% du pass Navigo.

Le plan schéma directeur immobilier (PSDI) 2017 montre une stratégie d’économies successives de court terme sur les loyers, sans préparation rationnelle de la grande migration que la direction compte mettre en oeuvre pour 2020-2025. La CGT compte bien s’opposer à ce démantèlement d’Orange sur Paris et la 1ère couronne.

CONSTRUIRE L’AVENIR

La France a besoin d’une industrie et de services publics forts répondant aux besoins de la population et qui assurent un développement économique équilibré des territoires, la création d’emplois et le progrès social pour tous. Les Télécommunications n’échappent pas à cette nécessité : il s’agit de gagner le droit à la communication pour tous.

La transformation numérique ne fait qu’accélérer cette urgence car elle est en train de métamorphoser notre société, son économie et ses liens sociaux. C’est donc aussi le moment de se poser la question du sens et de la finalité de cette transformation, comme de l’utilisation des gains de productivité :

  • Doit-on optimiser les profits ou générer du progrès social ?
  • Doit-on susciter de la concurrence à outrance dans les zones de fortes densité de population et laisser les zones de faible densité à l’abandon, ou doit-on ou assurer le développement du très haut débit sur tout le territoire avec une péréquation tarifaire ?
  • Doit-on détruire l’emploi et intensifier le travail de ceux qui restent, ou doit-on réduire le temps de travail et améliorer les conditions de son exercice ?
  • Doit-on déshumaniser la relation client, ou doit-on utiliser le progrès technique pour se rapprocher de l’utilisateur final et améliorer le service rendu ?
  • Doit-on utiliser l’argent public pour « aider » les employeurs qui bloquent les salaires, détruisent massivement l’emploi… et se versent des dividendes ?
  • Doit-on poursuivre dans la gabegie inhérente à la privatisation, ou doit-on revendiquer un service public de la communication, sous contrôle salarié et citoyen ?

La transformation numérique n’est pas obligatoirement synonyme de réduction de la masse salariale et de déshumanisation de la relation client. On peut utiliser les gains de productivité induits pour l’investissement en faveur des usagers, la formation continue des salarié-es, l’augmentation des salaires et la réduction du temps de travail. 

Mais de telles avancées ne se gagnent pas depuis un local syndical, et encore moins depuis les bureaux de la direction. Il appartient aux salarié-es de les conquérir par eux-mêmes et pour eux-mêmes : Qui mieux que moi sait ce dont j’ai besoin pour « bien travailler »? Quelle entité sait mieux que mon équipe comment nous organiser pour travailler efficacement et sans nous prendre la tête ?

Si la CGT a des propositions, c’est avec les salarié-es qu’elle souhaite les mettre en oeuvre et non à leur place ou dans leur dos. Pour chaque militant-e CGT, construire avec les salarié-es est un gage d’efficacité.

Le vote CGT aux élections CE et DP de novembre prochain sera l’occasion pour chacune, pour chacun, de reprendre la main en vue d’une défense efficace de ses intérêts matériels et moraux. 

La CGT : une force à vos côtés.

@illustration fotomelia

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Projet de généralisation de la polyvalence mobile/OPEN sur le SCO

Quelques avancées mais le compte n’y est tourjours pas !

Troisième séance de négociation. Nous avons remis la pétition CGT et SUD (264 signatures en 3 jours !)  demandant des MEC (3%), une prime de 1000 Euros, des promotions avec le 2-3 minimum ou D, des perspectives pour les 2-3 de progresser vers le 3-2, le 3-2 ou D Bis pour les soutiens, une reconnaissance pour tous les managers. !

Après trois séances de négociation, la Direction présente toujours un projet light. Elle refuse toujours d’évoquer des mesures MEC dans la cadre de cet accord. Elle continue de brouiller les négociations en  mélangeant les mesures propres à l’accord et les mesures annuelles propres à toutes les unités. C’est inadmissible d’autant que nous savons que sur d’autres Directions des mesures MEC (Mesures Emplois Compétences) et des primes ont été obtenues. Nous avons bien rappelé une nouvelle fois que sur le SCO Centre Est, tous les salariés de Lyon et Annecy ont obtenu une mesure MEC de 3% et les salariés déjà en poste ont obtenu une prime de 600 euros pour valoriser leur aide dans la montée en compétence de leurs collègues. POURQUOI PAS NOUS !

Toutes et tous concerné-e-s !

La Direction tente toujours de diviser le personnel et refuse d’entendre que tous les salariés des plateaux services N1 et N2 seront directement impactés par la généralisation de la polyvalence mobile et Open. Malgré tous nos arguments, toutes les démonstrations que nous avons faites, la Direction reste campée sur ses positions !

La direction lors de la 3ème  séance de négociation confirme l’augmentation du  montant de la prime en passant de 600 à 750 euros pour les mobiles vers Open avec une mesure rétroactive de 150 euros pour celles et ceux « de la précédente vague » qui n’ont eu que 600 euros. Pour les autres salariés TOUJOURS RIEN !

POUR LA CGT NOUS SOMMES TOUJOURS TRES LOIN DU COMPTE.

Que  les choses sont claires. L’ensemble des salariés est éligible à un élargissement des compétences, donc à une reconnaissance. La Direction doit assumer son choix de généralisation de la polyvalence. Il existe des accords en ce sens.

La généralisation de la polyvalence mobile/Open doit s’accompagner pour chaque salarié concerné d’une reconnaissance pour l’évolution des compétences.

NE MINIMISONS PAS CE QUI A ETE GAGNE PAR VOS SIGNATURES !
  • 750 euros de prime avec rattrapage de 600 Euros pour ceux qui seraient éligibles
  • Tous les salariés travaillant sur l’activité passeraient en 2-3 ou D sur une période de 2 ans soit 50 personnes 25 en 2017 et 25 autre en 2018
  • la PVC moyenne maintenue sur une durée de 6 mois au lieu de 4

 

Ce qui bloque encore : les promotions annoncées par la Direction du SCO seraient prises sur le budget annuel du SCO le Directeur reconnaissant même n’avoir fait aucune demande de budget supplémentaire dans le cadre de ce projet. On serait donc en train de négocier un accord sans budget dédié ? Pas étonnant que nous ayons tant de mal à nous faire entendre !

De  l’argent à Orange il y en a ! Quant-il s’agit d’augmenter de 8% les  dividendes aux actionnaires ils ne se posent pas ce genre de question. Idem pour la fermeture du site d’Ivry sur Seine, après une journée de grève à 85%, la Direction a trouvé l’argent nécessaire ! Que les MEC soient systématiquement refusées n’est pas entendable !

Puisque Le Direction du SCO n’a pas fait de demande de budget supplémentaire à la DO, la CGT, elle l’a fait à sa place lors du CE du 22 juin !

Tous les salariés du SCO n’arrêtent pas de faire des efforts. C’est le message que fait passer la CGT lors de toutes les séances de négociations. La CGT va continuer d’aller à votre rencontre pour que nous décidions ensemble des poursuites de cette négociation ! Personne ne doit rester au bord du chemin !

Toutes et tous ensemble si nous nous mobilisons nous gagnerons  !

 

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