Cadre

Flash Cadres N°824: Octobre 2020

Edito:

Journalistes réduits au silence

La Ligue des droits de l’Homme a décidé d’engager un recours devant le Conseil d’État à l’encontre du « nouveau schéma du maintien de l’ordre » préparé par Darmanin. Elle considère que ce schéma porte atteinte à la liberté de la presse, d’observation, la liberté individuelle et à la liberté de manifester.
Les entraves, les risques judiciaires, les blessures que supportent les journalistes qui couvrent les manifestations sociales depuis des années sont une atteinte inacceptable à la liberté de la presse, à la démocratie. Si la nouvelle doctrine du maintien de l’ordre portée par Darmanin entre en vigueur, les journalistes ne pourront plus continuer de couvrir les manifestations sans être inquiétés par les forces de l’ordre.
Le film documentaire « Un pays qui se tient sage » sorti le 30 septembre, en est un vibrant témoignage. Devant la protestation de quelque 40 sociétés de journalistes et des syndicats de la profession, le Ministre de l’Intérieur plaide le « malentendu », sans rassurer.
Le secrétaire général de la CGT qui a affirmé : « Il faut que les journalistes puissent faire leur métier […], il y a besoin de témoins neutres, ce sont les journalistes. ».
Darmanin veut exiger des journalistes qu’ils demandent la permission de travailler en s’accréditant. Plus grave, il propose des « exercices conjoints » entre forces de police et journalistes pour que les uns et les autres se comprennent. Le gouvernement veut faire des affaires sans témoins, sans contestation. a France risque de continuer de dégringoler dans le classement international des atteintes aux droits de l’homme et aux libertés fondamentales.
C’est pourquoi la CGT et le Syndicat national des journalistes CGT (SNJ-CGT) ont, également, déposé un recours en urgence devant le Conseil d’État. L’audience est prévue le 16 octobre 2020.

Actualité Télécom:

     -La 5G, parlons-en
L’attribution des licences du nouveau réseau mobile 5G aura coûté la bagatelle de 2,8 Mds d’€ aux opérateurs. Cette nouvelle technologie traverse des enjeux bien plus larges que la nécessité de supporter la croissance exponentielle des débits data mobile (+50%/an) et le développement de multiples nouveaux usages (usine 4.0, de la e-santé, de la ville intelligente, de l’Agri tech, de la science, de la sécurité, des jeux en mobilité et demain du véhicule autonome) rendue possible par un temps de latence quasi nul.
Tous ces usages sont du marketing. La crise sanitaire et le confinement imposent un aménagement du territoire égalitaire face au numérique (fixe, mobile 5G) pour l’accès à la communication pour toutes et tous. Mettre fin au zone sans accès ni fibre ni mobile 4G et probablement 5G. Elle montre la nécessité que s’ouvre un débat sur l’utilisation des nouvelles technologies du numérique, leurs impacts sur nos vies, leur utilité sociale, leur empreinte carbone…..
 -Des réductions pour tous !
La CGT est signataire de l’accord sur la restauration collective à Orange, afin de maintenir la solidarité sur tout le territoire.
En effet, la gestion mutualisée permet aux plus gros restaurants de soutenir financièrement les plus petits afin que l’ensemble du personnel puisse manger dans tous les restaurants pour un même coût.
La non adhésion des CSEE de SCE et OFS écartent les salariés d’accéder à un prix subventionné aux restaurants. La position dogmatique de la CFE/CGC, majoritaire dans ces 2 CSEE, basée sur la fausse bonne idée de pouvoir choisir entre tickets restaurant et restauration collective occulte les réalités du quotidien. En effet, la restauration privée demande à la fois du temps, un budget conséquent et des restaurants en nombre suffisant. Food truck et autres sandwicheries sont attractifs l’été mais un peu moins tous les jours et l’hiver. Aujourd’hui, le mécontentement des salarié.e.s est bien réel.

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Flash Cadres N°823

Renforcer et développer la sécurité sociale de demain

Il y a 75 ans, l’ordonnance du 4 octobre 1945 posait les fondements de la Sécurité sociale : protéger « les travailleurs et leurs familles » contre les aléas de la vie : « Désormais nous mettrons fin à l’insécurité du lendemain, nous mettrons l’homme à l’abri du besoin, nous ferons de la retraite non plus l’antichambre de la mort mais une étape de la vie et nous ferons de la vie autre chose qu’une charge et un calvaire » (Intervention d’Ambroise Croizat à l’Assemblée nationale en 1945).
Depuis 1946, le patronat et ses représentants n’ont eu de cesse de remettre en cause cette conquête sociale qui reste le pilier du système français. Dans cette période de crise sanitaire, économique et sociale majeure, une fois encore la Sécurité sociale prouve son rôle capital d’amortisseur social.
C’est grâce à elle que des indemnités journalières ont été payées aux salariés en arrêt maladie mais aussi en garde d’enfants, que les pensions de retraites ont été versées intégralement et sans baisses, que les allocations familiales, concernant les adultes handicapés, logement, etc. ont été maintenues.
C’est également grâce à la Sécurité sociale que tout le monde a pu se soigner sans l’angoisse de la facture d’hospitalisation contrairement à d’autres pays.
Pourtant nos dirigeants continuent à s’acharner à vouloir imposer des réformes régressives comme celle des retraites.

Le vaccin : emplois et augmentation de salaire
Après les solides résultats financiers d’Orange au 1er semestre, augmenter le dividende versé aux actionnaires ? Une véritable provocation vis-à-vis du personnel, après les jours de congé confisqués et la modération salariale imposée unilatéralement ! Sans compter les retours sur site contraints malgré la situation sanitaire préoccupante, l’indemnité indécente de télétravail, le versement de la prime Covid-19 à un nombre minimal de salariés…
« Engage 2025 » est le nouveau plan d’économies d’1 Md € en 3 ans, rendues possible par l’externalisation d’actifs (towerCo), la réorganisation de services et essentiellement la suppression d’emplois, selon le PDG. Orange est devenue une machine à supprimer l’emploi, en moyenne 4 000 chaque année en France…

#LieAtOrange
La CGT a interpellé le président d’Orange Stéphane Richard lors du dernier CSEC.
Alors qu’Orange lance sa campagne #LifeAtOrange, vantant la reconnaissance de ses salariés et sa politique d’emploi, il était de bon ton de parler vrai. Car c’est bien la baisse des effectifs et l’augmentation des dividendes qu’annonce S. Richard.
La CGT pose la question des enjeux industriels à long terme compromis par la politique d‘externalisation actuelle et des priorités.
Le développement de la 5G est-il urgent quand des zones entières ne sont pas raccordées à la fibre freinant l’activité et l’emploi en territoire et le désengorgement des grandes métropoles ?
Nous devons nous emparer de ces questions qui nous impactent directement et porter le débat dans nos services.

 

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Flash Cadres N°821 - Juillet 2020

Edito: Le statut cadre reconnu

La CGT est signataire de l’Accord National Interprofessionnel (ANI) de l’encadrement et c’est une bonne nouvelle à plusieurs titres. Premièrement, il donne une définition de ce qu’est un cadre encadrant ou expert au niveau de la qualification, du degré d’autonomie dans le travail, des responsabilités sociales et économiques ou sociétales. Deuxièmement, cette définition, homogène au plan national, permet une garantie face à la concurrence entre grandes et petites entreprises ou face à l’attractivité entre territoire. Sans cet ANI, quelle valeur d’être cadre dans une PME ou dans un grand groupe ? Quelle valeur dans un territoire tête de région ou dans un territoire touché par la désertification industrielle ? L’ANI est une garantie face à l’inversion de la hiérarchie des normes imposée par la loi Macron. Troisièmement, l’APEC (Association Pour l’Emploi des Cadres), en remplacement de l’AGIRC (retraite complémentaire des cadres fusionnée avec l’ARRCO), devient l’opérateur qui, en concertation avec les branches professionnelles, mettra en oeuvre, pour chaque convention collective, les critères d’entrée dans le statut.
Enfin, les employeurs ne pourront pas limiter l’accès au statut à une définition plus restrictive que la définition nationale, ce qui garantit aux cadres leur affiliation à l’APEC et le bénéfice d’un dispositif de prévoyance pionnier, entièrement financé par la part dite « patronale de la cotisation », pour la couverture des risques décès, invalidité, incapacité. Ainsi confortée, cette prévoyance est généralisable à l’ensemble du salariat.

Branche Télécoms

     –Et pour les salarié.e.s ?

Cette année, les NAO à Orange balance entre cynisme et hypocrisie. Le PDG a affirmé que l’entre-prise passerait la crise sans conséquence grâce une bonne réserve financière, justifiant ainsi l’octroi de 530 M€ de dividendes aux actionnaires. Alors que cette réserve s’est constituée grâce aux 2 Mds de bénéfices annuels produits par les salariés, la Direction ne propose que 61 M€ (110 M€ en 2019) pour les salariés, soit 1,8% de taux global.
Pourtant, avant le confinement, la Direction disait vouloir « faire évoluer la masse salariale » aujourd’hui, elle justifie ce faible budget par un futur « incertain », sans annoncer aucun chiffre.
Le seul chiffre donné étant la baisse ponctuelle de l’inflation suite à la crise, faisant totalement abstraction de l’inflation 2019, des résultats d’Orange et de notre implication dans la bonne marche de l’entre-prise qu’elle juge si naturelle ! Dans ce contexte, comment signer un tel accord sur les salaires ?
Rien à négocier !
L’accord intéressement porte, chaque année, la négociation des objectifs des critères. Pour 2020, la CGT a demandé qu’Orange ajuste les objectifs en tenant compte des réalités liées à la crise sanitaire. La CGT a dénoncé des critères de déclenchement aléatoires, sur lesquels les personnels n’ont pas de prise et orientés par des choix purement financiers. La CGT a porté l’augmentation de l’enveloppe plafonnée à 5% de la somme des salaires, la suppression des critères sur lesquels les salariés n’ont pas de prise, la neutralisation des absences imposées par la crise sanitaire, une répartition d’un montant égal à l’ensemble des personnels et la mise en place d’un 13ème mois afin de pérenniser les éléments de rémunération.
La direction est restée sur ses positions en maintenant des objectifs supérieurs à ceux de 2020. En bref, il n’y avait rien à négocier !

     -Rien à négocier !

L’accord intéressement porte, chaque année, la négociation des objectifs des critères. Pour 2020, la CGT a demandé qu’Orange ajuste les objectifs en tenant compte des réalités liées à la crise sanitaire. La CGT a dénoncé des critères de déclenchement aléatoires, sur lesquels les personnels n’ont pas de prise et orientés par des choix purement financiers. La CGT a porté l’augmentation de l’enveloppe plafonnée à 5% de la somme des salaires, la suppression des critères sur lesquels les salariés n’ont pas de prise, la neutralisation des absences imposées par la crise sanitaire, une répartition d’un montant égal à l’ensemble des personnels et la mise en place d’un 13ème mois afin de pérenniser les éléments de rémunération.
La direction est restée sur ses positions en maintenant des objectifs supérieurs à ceux

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Cadres à Orange : Une sur-implication jugée si naturelle (sic)

L’accélération de la révolution numérique bouleverse l’organisation du travail et du management. Le travail à domicile imposé et improvisé, facteur aggravant pour le salarié est un effet d’aubaine pour l’entreprise.
L’accord ARCQ a permis de rendre nos métiers flous et malléables, gommant la notion de qualification pour ne reconnaitre que celle des compétences, la poly-compétences et l’adaptabilité à outrance devenant la norme. Le déroulement de carrière devient aléatoire, les règles n’étant pas établies et les modalités sont unilatéralement modifiables sans préavis.
Pourtant en tant que cadre, notre sur-implication est jugée « naturelle », laissant peu de place à l’équilibre vie privée/professionnelle d’autant plus malmené pendant le confinement où il a fallu jongler avec les obligations familiales, la maladie, le travail, les déplacements contraints, l’adaptation du domicile, l’évaporation du temps de travail, l’isolement, l’absence de restauration collective, etc.
Le travail à domicile a engendré une surcharge de travail et de frais qui n’a pas été rémunérée, la Direction estimant que nous étions déjà « bien chanceux d’avoir tous été payés ». Comme s’il était exceptionnel d’être payé lorsque l’on travaille et que l’on rapporte 2 milliards de bénéfices en moyenne par an à l’entreprise. Car il faut se le dire, l’activité n’a jamais été stoppée à Orange et c’est bien notre travail et notre implication «si naturelle» qui a permis à celle-ci de passer les premier temps de la crise sans encombre.

Pourtant l’entreprise fait des économies sur les augmentations de salaires, instaure l’austérité et accélère son plan stratégique en plaçant la finance aux postes clés de l’entreprise, dès la rentrée.

La CGT revendique des NAO qui reflètent les résultats 2019 d’Orange, à la hauteur des gains de productivité de 6 % et de l’implication des salariés tout au long de l’année.
Implication qui n’a pas fléchit pendant le confinement, concrétisée par plus de 20 % de productivité en hausse sur la période, un vol de JTL, des objectifs en hausse, une prime fantôme, des conditions de travail dégradées.
Nous revendiquons un 13e mois en plus des éléments de rémunérations actuels et aucun salaire cadre en dessous du plafond de la sécurité sociale (41 136 € brut/an).
Dans un contexte où le collectif de travail et le management sont mis en difficulté par l’isolement des salariés, toute augmentation se doit d’être collective cette année.

De nouvelles perspectives pour le monde d’aujourd’hui

Les évolutions technologiques doivent mener au progrès social, à l’amélioration des conditions de vie et de travail tout en répondant aux besoins des citoyens.
Le sens et l’organisation du travail doivent repenser notre relation à l’environnement et promouvoir un système de protection et de santé remettant en cause les logiques de rentabilité qui nous font subir crises sur crises. Celle qui nous touche actuellement prouve la fragilité du statut du travail lié à une subordination à l’employeur.
La CGT propose de construire un nouveau statut du travail salarié comme socle de droits attachés à la personne et non à l’entreprise pour la sécuriser tout au long de sa carrière grâce a un droit à la continuité et à la progressivité de salaire, de carrière, de formation, même si elle change d’entreprise, quel qu’en soit le motif.

Accord National Interprofessionnel (ANI) sur l’encadrement

Après 5 ans de bataille, cet accord a été arraché contre la volonté du Medef, grâce aux propositions et à la stratégie d’unité syndicale portée par la CGT et son Union générale des ingénieurs, cadres et techniciens (Ugict).

Une définition de l’encadrement opposable aux employeurs.

L’association pour l’emploi des cadres (Apec) devient l’opérateur qui mettra en oeuvre, pour chaque convention collective, les critères d’entrée dans le statut de l’encadrement, il s’en trouve alors sécurisé dans son financement grâce aux cotisations des cadres et assimilés. Ainsi, les employeurs ne pourront pas imposer une définition « maison » du statut moins-disant.
L’affiliation à l’Apec et au dispositif de prévoyance couvrant les risques décès, invalidité et incapacité sont garantis. Le principe de prévoyance ainsi renforcé est alors généralisable à l’ensemble du salariat.
Cet accord invite les branches professionnelles à mettre en place un ensemble de droits et de garanties collectifs pour permettre à l’encadrement d’exercer ses responsabilités professionnelles, sociales et économiques.

Un statut de l’encadrement inclusif qui repose sur trois piliers.

• Le niveau de qualification ;
• Le degré d’autonomie dans le travail ;
• Le niveau des responsabilités sociales,
économiques et/ou sociétales.
Alors que le patronat voulait limiter le statut aux seuls encadrants, cette définition permet de confirmer également le statut des cadres d’expertise et assimilés.
Une définition nationale et interprofessionnelle de l’encadrement permet ainsi de maintenir un statut homogène sur l’ensemble du territoire et
dans toutes les entreprises.

Forte de cette victoire, la CGT prône une autre vision du statut de l’encadrement !

La crise sanitaire a démontré le danger du «Wall Street management» issu de la financiarisation des entreprises. L’urgence est de permettre à l’encadrement dans toutes ses composantes, du management aux fonctions d’expert, de faire primer l’éthique professionnelle et la responsabilité sociale sur le diktat court-termiste de la seule valeur actionnariale.

 

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Le travail sous épidémie : salariés cadres d'Orange, la CGT vous invite à vous exprimer

La CGT des ingénieurs, cadres et techniciens lance une grande enquête nationale sur les conditions de travail et les marges de manœuvre de l’encadrement.

Aujourd’hui, le monde du travail est traversé par des débats majeurs : quelles sont les activités essentielles qui doivent être exercées en présentiel ? Les consignes de sécurité sur les lieux de travail sont-elles mises en place pour protéger la santé des salariés ? Comment se met en place le chômage partiel ou le télétravail ?

Le questionnaire comprend un volet à destination de l’encadrement.
Depuis le début de la crise sanitaire, le personnel d’encadrement est confronté à des injonctions contradictoires : préserver l’activité économique tout en préservant la santé des équipes. Souvent sommés de mettre en place des organisations de travail qu’ils ne partagent pas, ils n’ont toujours pas de droit de refus, d’alerte et l’alternative alors qu’ils et elles sont justiciables et souvent utilisés comme fusibles.
Répondre à ce questionnaire, nous permettra de mieux appréhender les problématiques que vous rencontrez et de mieux réfléchir à des propositions sur les conditions et les organisations du travail.

Attention, cette enquête se termine le 22 avril 2020.

D’avance merci pour votre implication.

Cordialement

L’Union Fédérale des Cadres CGT FAPT

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LA CGT FAPT PROPOSE

Préambule : Ces repères revendicatifs ne sont pas un recueil de propositions mais un outil permettant aux salariés d’élaborer eux-mêmes leurs revendications dans les services avec leurs représentants CGT.

Défendre le statut cadre et l’améliorer au moyen de 4 leviers :

  • Temps de travail

Non seulement la CGT est mobilisée pour gagner un véritable droit à la déconnexion, mais ses militants cadres estiment que les forfaits jours ont souvent pour  conséquence une augmentation de la charge de travail, ce qui ne permet pas un travail de qualité.

  • Egalité Professionnelle

Elle ne peut se résumer au nombre de femmes au Conseil d’administration. La CGT ne se résigne pas  au plafond de verre qui cantonne les femmes cadres dans les premiers niveaux de classification. Nous proposons d’agir sur  2 volets : Des mesures  de rattrapage salarial, parts variables comprises, et le déroulement de carrière.

  • Management

Pourquoi considérer la méthode agile et le management collaboratif comme les nouveaux « totems » alors que la CGT et son Ugict portent une vision alternative du management ?

  • Reconnaissance des qualifications

Pour la CGT, il s’agit d’un point essentiel qui s’appuie sur des salaires de recrutement qui reconnaissent  les diplômes, ainsi que la valorisation tout au long de la carrière des qualifications acquises notamment grâce à la formation professionnelle.  Le statut cadre est essentiel dans la portabilité des droits acquis tout au long du parcours professionnel. C’est pour ces raisons que la CGT n’a de cesse de défendre, par exemple la garantie, par une retraite complémentaire par répartition et spécifique, de percevoir un revenu de remplacement préservant le pouvoir d’achat des cadres au moment de la retraite.

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