La CGT FAPT Orange

Cette dernière édition, réalisée en plein confinement, consacre, bien entendu, une large part à la crise sanitaire Covid-19, et du PRA (Plan de Retour à l’Activité), mais également :

• au bilan emploi 2019
• aux ASC et de la Restauration (avec des dispositions particulières à la période)
• à la poursuite de la transformation TGI, qui permettrait ainsi de faire passer plusieurs réorganisations sous le « boisseau »

Bonne lecture !

Le CSE TGI a enfin un bureau constitué. Les membres des commissions sont nommés. L’instance va pouvoir travailler …

Ce bulletin fait état des débuts extrêmement laborieux du CSE TGI naissant … Et, la Direction TGI aimerait tant que le dialogue social se réduise à son monologue !

Nous prenons acte du jugement rendu le 3 décembre par le Tribunal de Grande Instance de Paris sur le projet Orange Atalante. Nous regrettons que la décision n’ait porté que sur la forme du dossier et jamais sur le fond, à savoir la dégradation des conditions de travail des salariés… ( Suite dans le bulletin )

Il y sera essentiellement question des résultats électoraux.

La CFE-CGC et la CFDT se regardent encore en chiens de faïence… Comme il y a deux ans au CE IMTW, lors de la 1ère réunion de CSE TGI (du 4 décembre), ni la 1ère OS (la CFE-CGC), ni la 2ème (la CFDT) n’assument leurs responsabilités en proposant ni secrétaire, ni trésorier pour le bureau du CSE. Habituée à ce type de « chantage », la CFE-CGC nous rejoue la scène d’accepter le secrétariat du CSE que si les 5 autres OS appliquent, sans aucune recherche de consensus, son programme pour les Activités Sociales et Culturelles (ASC) – contre lequel ont pourtant voté +70% des électeurs ! En scénario miroir, d’il y a 2 ans, la CFDT se contente de rappeler à sa rivale la CFE-CGC que c’est à elle, la CFE-CGC), de proposer un secrétaire pour le CSE… Saison 2 de ce mauvais feuilleton – à éviter

Et les salarié·e·s dans ce jeu de dupe … Pour ces deux OS que les électeurs ont pourtant placé en tête, les salarié·e·s ne semblent pas au centre de leurs préoccupations, et cela malgré les belles promesses dans leurs professions de foi ou remerciements post élection… Car l’un des premiers enjeux de ce CSE est de valider la convention de délégation de la restauration à Orange pour permettre une poursuite sans rupture des subventions de la restauration pour nos collègues. Après le 18 décembre, faute de convention, tous les salarié·e·s paieront plein pot, et la note de ce « petit jeu » risquerait d’être salée.