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Les infos du CSEC Orange
EN DIRECT DU CSEC ORANGE Décembre 2020: Gestion de la Crise Coronavirus Orange toujours en mode …REACTION !!
Orange reste dans sa Bulle… spéculative…
La direction poursuit sa méthode de non anticipation des évènements et prise de décision dans la gestion de la crise Covid. Elle attend les nouvelles consignes gouvernementales alors que les médias chaque jour font état d’une moyenne de 11 000 cas quotidiens, bien loin du seuil des 5000 cas nécessaires à un déconfinement global.
Une logistique de vaccinations et de tests compliquée à mettre en œuvre…
Les services de santé n’ont aucune dotation spécifique concernant les vaccinations et les tests antigéniques ne sont pas envisageables en entreprise car ils nécessitent des équipements de stockage spécifiques.
Un manque de transparence dans la gestion des clusters, des cas avérés et des cas contacts..
Les médecins de travail ne peuvent légalement prescrire d’arrêt de travail, la direction se cache derrière les consignes sanitaires et ne prévoit que des certificats d’isolement que pour des cas avérés. La fermeture ou non d’un site ou d’une boutique reste à l’appréciation de l’entreprise.
La CGT refuse les appréciations à géométrie variable guidées par le business et exige que la prévention prime et que la santé des salariés soit et reste la priorité absolue.
A date, les services de santé Orange annoncent avoir connaissances de 1 800 cas avérés à mi-novembre 2020, la CGT revendique que l’entreprise assume ses responsabilité et soit plus réactive dans l’information des « cas-contact ». La CGT ne peut accepter qu’un salarié « cas-contact » ne soit pas informé le jour même de la détection, cela en va de la vie de ses proches !
Orange maintient 79 sites totalement fermés…
Sans dérogation possible sur ces sites, le télétravail massif reste la norme à Orange jusqu’au 10 Janvier 2021 et l’organisation en mode PCA V2 est maintenue.
Pour la CGT, la santé des salariés est la priorité. La direction doit simplifier la procédure de retour sur site pour ceux qui vivent mal le télétravail.
Orange versera des frais d’indemnisation au rabais…
Sur les demandes de télétravail régulier, Orange annonce un chiffre de 14 100 demandes en semaine 50, dont 84% traités ; soit 9 000 au 15 novembre et 2 300 de plus à date. Parmi ces demandes « traitées », 94% ont été validées et 6% refusées. Il reste un delta de 3 000 dossiers encore en instance. Pour la CGT il est évident que la direction a pris du retard en gelant les demandes en aout et septembre 2020, impactant les délais de traitement. La CGT exige que l’entreprise fasse le nécessaire pour que les équipe CSRH ne soient pas noyés pas l’amoncellement des demandes en retard, qui sont le fait de sa direction.
La direction annonce travailler à un retour sur site plus équilibré : mixte télétravail/présentiel à partir de janvier 2021.
Sur les frais d’indemnisation pour les salariés en télétravail imposé par le confinement, la direction prendra en charge 15 euros mensuels sans dépasser les 180€ annuels du télétravail contractualisé. La CGT dénonce une indemnité hors sol en plein hiver (chauffage, électricité,.)
La direction privilégie le business avant la santé des salariés….
Encore une fois, la CGT alerte la direction sur la souffrance et les RPS accentués par le climat anxiogène de la crise Covid, par l’isolement
(freepik.com)
des salariés et maintenant accélérés par le lancement de plusieurs projets structurants. La CGT rappelle que la préservation de la santé mentale des salariés est une obligation légale à l’employeur et réclame une enquête urgente sur l’impact sanitaire. La direction ne prévoit aucune action immédiate, elle rappelle l’existence des outils : RH, managers, services de santé.
En boutiques, des conditions de travail inhumaines …
Pour pallier à des locaux de back office à taille inadaptée, la direction sacrifie le bien être des salariés en imposant un protocole de déjeuner éclair en 15 min pour avoir le maximum de turn-over sur ces pauses, afin de ne pas gêner le business. Inadmissible pour la CGT. L’entreprise doit s’adapter à l’humain et non l’inverse. La CGT réclame des fermetures de boutiques pour permettre de vraies pauses méridiennes. La direction va étudier les cas des boutiques ayant un back office exigu.
Sur la PVC, les objectifs de décembre ont été baissés de 20% alors que les flux ont baissé de 40%. La CGT exige que la direction prenne en compte le contexte sanitaire et l’impact sur les ventes en garantissant d’appliquer la PVC la mieux-disante.
La protection des salariés une priorité….
Le capacitaire de 8m2/individu ne concerne que les clients. Les salariés sont les grands oubliés mais les plus exposés.
Les incivilités sont en augmentation. Mais la Direction propose d’analyser la typologie des incivilités pour connaître les tendances qui se dégagent. Intolérable pour la CGT. Elle réclame un renforcement des effectifs et des agents de sécurité dans toutes les boutiques qui le demandent.
La direction impose un nouvel outil de RDV sans consulter les IRP…
Sur l’outil RDV- WYND, qui concerne à date 40% de l’activité, la CGT est déterminée et exige un passage en info-consultation au CSEC, car il y a un vrai impact sur l’organisation du travail (utilisation et gestion de plusieurs outils en même temps, interfaçage,..). La direction va y réfléchir.
Des salariés en situation de handicap… toujours en reste.
Orange annonce avoir pris le problème de la qualité de masques inclusifs laissant à désirer. Elle travaille avec les fournisseurs pour de nouveaux modèles. Pour faire patienter les salariés, elle a commandé des lingettes antibuée.
La CGT réclame toujours un vrai bilan sur cette catégorie de salariés souvent isolée pendant les confinements et autres périodes d’éloignement de site.
Pour la CGT, la protection des salariés est la seule priorité face à cette pandémie mortelle
La CGT revendique :
• La mise en place d’un protocole renforcé et mieux disant sur tout le territoire.
• Un bilan d’impacts sanitaires particulièrement sur les salariés en télétravail Covid-19.
• Une indemnisation à la hauteur des réels frais supportés par les salariés à domicile.
• Un budget complémentaire d’augmentations salariales NAO 2020.
•Un plan d’embauches massif et ambitieux répondant aux besoins dans les services.
• Une prime Covid-19 exceptionnelle pour Tous
En complément…
Les infos du CSEC Orange
EN DIRECT DU CSEC ORANGE Décembre 2020: FUSION UAT – SCO SEULE RÉPONSE D’ORANGE AU SOUS-EFFECTIF !
Orange poursuit ses projets structurants en mode accéléré…Aussi bien au CSEC que dans les CSE des DO
Une expertise globale est en cours, suite à sa validation par les élus du CSE le 14 octobre dernier.
Ce projet structurant est loin d’être une simple formalité. Il impacte l’ensemble des métiers de la Relation Clients Grand Public ; Les Front-Offices, les Back-Offices, les services transverses et les États Major par la division par 2 du nombre de membres des CoDir. Pour autant, aussi bien au national qu’en local, les directions entendent poursuivre les projets « en mode accéléré »… La CGT réclame le gel de ce projet dans l’attente du retour de l’expertise qu’elle a diligentée au CSEC avec d’autres organisations syndicales !!!
La très bonne santé financière d’Orange doit permettre d’autres choix… mieux disant…
Nationalement, ce sont 3 activités qui seraient arrêtées définitivement et la mutualisation nationale des flux.
Les baisses d’effectifs sont tellement importantes, et ce depuis de très nombreuses années, que la seule solution trouvée par Orange France pour poursuivre l’activité est un fonctionnement mutualisant l’ensemble des ressources disponibles sur le territoire ; Mise en place d’un Centre d’Appel Virtuel ; Activités de Back-Offices mutualisées et plus de sous-traitance.
Les recrutements externes, un gros mot pour Orange, sont les grands absents de l’ensemble des projets présentés au CSEC et dans les DO. Il en est de même pour le maillage du territoire, avec des choix établis qui induisent la mort de nombreux sites dans lesquels les recrutements ne se feront plus ; Quand Orange évoque des recrutements, ce sont bien entendu des recrutements internes !!!
Orange doit attribuer un budget pour répondre Aux sous-positionnements dans la Relation Clients Grand Public…
1 000 Spécialistes d’ici à 2023 ; Les salariés AT Demain devraient se retrouver « Spécialistes Panne », s’ils sont aux attendus !! Le nombre de spécialistes et les spécialités déployées sont à la main de chaque DO.
Les managers restant sur le carreau, se verront proposer des postes spécialistes. De par leur expérience et leur professionnalisme, aucun salarié de la Relation Clients GP ne devrait encore être positionné sur un niveau C ou II1 – II2.
Pourtant, de nombreux salariés sont toujours sur ces niveaux. Il est nécessaire qu’Orange débloque un budget spécifique, complémentaire à celui des promotions et reconnaissances, permettant de supprimer ces sous-positionnements !!!
La direction doit satisfaire les demandes des salariés.
La CGT revendique :
• L’abandon de ce projet de fusion UAT-SCO.
• Le remplacement de l’ensemble des départs.
• La réinternalisation des activités et des emplois.
• Des recrutements externes massifs sur l’ensemble des sites.
• Des métiers de la Relation Clients Grand Public sur des niveaux D et Dbis (II3 – III2).
• Un budget spécifique pour supprimer les sous-positionnements.
La CGT reste présente à vos côtés dans cette période si particulière.
Sollicitez le-la militant-e CGT que vous connaissez
Si vous rencontrez des difficultés à faire respecter vos droits. Votre santé et vos conditions de travail restent nos priorités.
En complément…
Les infos du CSEC Orange
EN DIRECT DU CSEC ORANGE - Décembre 2020: Orange TowerCo, vers une désintégration des activités d’Orange…
Un projet dont les enjeux sont l’avenir d’Orange et la souveraineté des télécommunications..
La CGT s’inquiète des conséquences de ce nouveau projet de filialisation des infrastructures réseaux. A l’instar de ce que nous avons écrit sur la stratégie et l’innovation, nous craignons qu’Orange perde encore plus la maîtrise et la souveraineté de ses activités, de par le recours massif à la sous-traitance voire à l’externalisation mais également l’emprise des GAFAM et OTT en les laissant prendre pieds, en plus de l’IT, dans les réseaux intercontinentaux. Mais, où s’arrêtera l’appétit de ces géants du Web ?
Pour la CGT, c’est l’annonce de la vente à la découpe d’Orange au travers de transferts d’activités vers des filiales existantes ou ad hoc, filiales qui pourraient, à l’échéance de quelques années, ne plus être la propriété exclusive ou majoritaire d’Orange. Orange Concessions pour les réseaux optiques et maintenant Orange TowerCo pour les points hauts (pylônes,.).
Deux notions se télescopent dans ce dossier, d’une part le RAN Sharing qui consiste à partager les équipements actifs et les fréquences associées avec différents opérateurs et d’autre part les équipements passifs symbolisés par les pylônes de toute taille.
Orange cède son coeur de métier, ses réseaux, pour se lancer dans la course aux profits …
Orange prépare la marchandisation des infrastructures de son réseau mobile N°1 pour la dixième fois consécutive et recherche également des investisseurs prêts à participer au financement de la holding européenne qui encadrera pour commencer deux filiales TowerCo nationales en France et en Espagne. Pour la CGT, l’entreprise peut valoriser ses points hauts sans passer par une filiale, simplement en adaptant son organisation interne et en s’appuyant sur la Direction de l’Immobilier et WIN pour les relations avec les autres opérateurs.
Orange accélère la financiarisation de l’entreprise et…
Ce projet est une nouvelle étape d’un point de vue purement financier. Nous avons bien compris qu’il s’agissait, à la fois, de transformer des coûts fixes en coûts variables et des capitaux immobilisés en loyer à payer mais également de faire apparaitre dans les bilans, la valeur de ces points hauts et ainsi essayer de redonner quelques couleurs au cours de l’action en bourse. Certains opérateurs, notamment Vodafone, Free et Bouygues, ont déjà réalisé ces opérations de mutualisation depuis un certain temps.
… le démantèlement progressif de l’entreprise en filialisant ses infrastructures réseaux …
L’avenir du Groupe est en jeu à moyen et long terme. Soit elle revend ses points hauts à un ou plusieurs investisseurs en cédant partiellement ou totalement sa future Holding européenne « HoldCo », opération pour faire rentrer quelques milliards dans les caisses à court terme, mais qui provoquerait une augmentation des OPEX (charges d’exploitation) de manière significative pour les années futures.
Soit elle crée une véritable TowerCo Européenne constituée, à travers différentes filiales nationales, d’un parc de plus de 40 000 points hauts (pylônes) dont 17 000 en France. Ce marché européen étant très concurrentiel (Cellnex, Inwit, AMT et des filiales créées par d’autres grands opérateurs européens), il est fort à craindre que les rares pylônes disponibles couteront chers en investissements.
Les salariés d’Orange ont un avenir mieux disant à défendre dans la maison mère…
La CGT s’oppose à ce que de plus en plus de salariés de la Maison Mère (UES) soient contraints d’être transférés vers ces filiales aux conventions collectives Syntec nettement moins avantageuse et des IRP quasi inexistantes. Orange TowerCo comptera une centaine de salariés cibles dont cinquante venant de DTSI.
La CGT craint qu’à terme, Orange ne soit plus qu’un fournisseur de tuyau ou une machine à gérer du cash et qu’elle ne se « tchurukise » comme Alcatel en simple holding ou entreprise sans salariés.
La CGT exige l’arrêt des projets et la réinternalisation des activités et emplois au sein de la maison mère.
Les télécommunications de demain, un enjeu sociétal…
Pour la CGT, les réseaux et services de télécommunications sont des biens communs. La crise sanitaire nous rappelle chaque jour qu’ils sont essentiels à la population et qu’ils doivent rester sous la seule responsabilité de l’état.
La CGT réclame qu’Orange abandonne son projet de filialisation des réseaux. Ils ne doivent en aucun cas passer sous le jour d’intérêts privés purement financiers et soumis aux dictats des spéculateurs.
La CGT réclamera une expertise sur les volets économiques et sociaux sur ce projet TowerCo.
Mobilisons-nous pour réclamer l’abandon immédiat de ce projet néfaste
En complément…
Communiqués de presse
Achat d’un câblier neuf : Pour une poignée d’euros !
Orange a annoncé, début décembre, son choix de construire un navire câblier neuf en remplacement du Raymond Croze qui arrive en fin de vie. La CGT avait écrit au PDG d’Orange pour soutenir ce choix dès le début d’année 2020 au moment où le comité d’investissement devait arbitrer entre un navire neuf et l’achat d’un navire d’occasion.
La CGT portait le choix d’un navire neuf, aux dernières normes environnementales, afin de pérenniser l’activité et le savoir-faire ô combien stratégique de la pose et de l’entretien des câbles sous-marins. La CGT avait également demandé un navire « polyvalent » capable d’intervenir sur les réseaux électriques des éoliennes marines, marché en croissance et source de diversification. Cette activité participe également à la nécessaire transition énergétique. Le choix du navire neuf est un choix porteur d’avenir.
La construction de ce type de navire est donc un enjeu industriel et stratégique, c’est pourquoi la CGT s’étonne du choix d’Orange de confier sa construction à un chantier Sri-Lankais. Les occasions de développer les savoirs faire sur la construction de ce type de bateau ne sont pas courantes, et nos chantiers ont toutes les compétences pour les réaliser. Une nouvelle fois, pour des raisons d’économie, la direction d’Orange fait le choix du moins-disant. De quelles économies parlons-nous d’ailleurs, puisque par voie de presse un patron de chantier affirme avoir perdu l’appel d’offre pour un delta prix de 5%, soit 2 millions d’euros …. Il n’est pas inutile de rappeler qu’Orange vient de recevoir 2,2 milliards d’euros de la part de l’état à la suite du litige fiscal qui les opposait.
Orange communique à grand train sur la construction de ce navire dans le cadre de sa politique RSE. Sans doute la direction a-t-elle oublié que le « S » signifie politique « sociale ». Ce sont plusieurs centaines de milliers d’heure de travail en intégrant toutes la chaine de production qui s’envolent au Sri-Lanka.
Au-delà des questions sociales, ce choix dénote une fois de plus l’absence totale de toute vision industrielle et de logique de filière sur une activité pourtant stratégique.la CGT s’interroge également sur la parole de l’état, principal actionnaire d’Orange, qui prétend avoir retenu les leçons de la crise que nous traversons et œuvrer à la ré internalisation des activités indispensables à la souveraineté de notre pays.
La CGT demande que la construction de ce navire soit confiée à un chantier sur notre territoire, respectueux des normes sociales. Cette filière, très éprouvée, en a besoin, et alors peut être qu’Orange pourra réellement faire vivre et communiquer sur sa RSE….
En complément…
Rémunération / Carrière
PPCR à Orange : la montagne a accouché d’une souris !
La revalorisation des grilles indiciaires à compter du 1er décembre 2020 a douché bon nombre de fonctionnaires en attente d’une reconnaissance salariale.
La CGT avait demandé qu’une rétroactivité soit appliquée au 31 janvier 2017 et que le complément salarial ne soit pas diminué par la réévaluation indiciaire afin qu’il y ait, mécaniquement, une vraie augmentation du pouvoir d’achat des fonctionnaires. Il convient à ce titre de rappeler que le point d’indice est gelé depuis février 2017.
Bien que le chiffre d’affaire du troisième trimestre 2020 soit en progression et qu’Orange va percevoir un pactole de 2,2 Milliards d’euros totalement défiscalisé, la direction est restée sourde à notre demande alors qu’elle en ait largement les moyens financiers pour répondre aux attentes des agents d’Orange.
Les fonctionnaires apprécieront la considération que leur porte la Direction au bout de tant d’années de bons et loyaux services au profit de l’entreprise.
Les fonctionnaires d’Orange participent comme tous salariés à la création de richesse et attendent en retour une juste rétribution. Pour les fonctionnaires c’est le salaire indiciaire qui sert de base pour le calcul de la future pension. Les augmentations salariales annuelles sont effectuées sur le complément salarial qui n’est que partiellement pris en compte lors de ce calcul.
Chez Orange les fonctionnaires sont les laissés-pour-compte en terme de pouvoir d’achat : le gouvernement a fermé la porte à un éventuel dégel du point d’indice qui détermine le salaire des fonctionnaires.
Selon l’Insee, ces derniers subissent une baisse de leur pouvoir d’achat qui s’explique par un regain de l’inflation en 2018 mais aussi par l’absence de revalorisation du point d’indice depuis 2017. Le gouvernement fait patienter les fonctionnaires avec la reconduite de la garantie individuelle de pouvoir d’achat (GIPA).
La CGT pousse à ce qu’Orange, dont l’état est le premier actionnaire, pèse de tout son poids pour le dégel du point d’indice afin que les fonctionnaires d’Orange bénéficient d’une réelle augmentation de leur pouvoir d’achat et qu’ils puissent partir avec une retraite à la hauteur de leur aspiration.
(Cf Tableaux sur le tract)