ACTUALITÉS

Emploi

Grâce à l'action de la CGT, 7500 recrutements à Orange d'ici 2020...

…Des emplois nécessaires mais largement insuffisants !

Le lundi 1er octobre 2018, la CGT a participé a un rendez-vous important avec le PDG d’Orange afin d’aborder les questions relatives à l’emploi chez Orange. Cette multilatérale nous a permis de faire le bilan sur les engagements pris par la direction dans le cadre de l’accord intergénérationnel, signé par la CGT le 23 décembre 2015. Cet accord prévoyait (Article 1-2-1) sur la période 2016-2018, un engagement de la part d’Orange de recruter 6 000 salariés dont 3 500 jeunes de moins de 30 ans avec une priorité parmi les alternants et les stagiaires. La CGT a largement contribué pour que ces engagements chiffrés et négociés soient inscrits dans cet accord.

Entre 2016 et 2017, grâce à l’intervention de la CGT, la direction a revu à la hausse ses engagements en termes de recrutements. Nous avons obtenu 1500 embauches supplémentaires. A l’époque nous étions notamment intervenus sur les tensions en termes d’emplois dans les unités opérationnelles notamment (AD et UI). Ce sont donc au final 7 500 recrutements qui étaient prévus entre 2016 et 2018.

Où en est-on de ces engagements ?

Entre 2016 et fin juin 2018, Orange a recruté 6 805 salariés, ce qui fait que nous sommes à 90% des engagements de la direction d’Orange. Il reste 6 mois pour boucler les 7 500 recrutements prévus et même les dépasser. A date, ces recrutements ont été majoritairement faits sur le périmètre Orange France (62%). Ces recrutements ont été réalisés principalement sur des fonctions opérationnelles (48% client et 32% réseau). Le taux de féminisation des recrutements est seulement de 30%. Nous avons rappelé à la direction, les engagements d’Orange, pris dans le cadre de l’accord égalité professionnelle et équilibre vie personnelle/professionnelle du 29 janvier 2018 signé par la CGT, d’atteindre un taux de féminisation des recrutements de 36%. Nous resterons vigilants sur ce sujet. Sur les 6 805 recrutés, 3 900 ont moins de 30 ans.

2 300 alternants recrutés en CDI !

Pendant la négociation de l’accord intergénérationnel, la CGT a mis l’accent sur le recrutement en priorité parmi les alternants. Force est de constater que cela porte ses fruits, puisque 2 300 ex-alternants ont été recrutés, ce qui correspond à quasiment 30% du volume des recrutements au 30 juin 2018. La CGT continuera à se battre pour que les alternants qui le souhaitent puissent s’inscrire dans la durée à Orange.

Perspectives 2018-2020

Lors de cette réunion, l’entreprise a pris de nouveaux engagements sur la période 2018-2020. Elle prévoit le recrutement de 7 500 salariés à minima, en accentuant ses efforts de recrutement sur les nouveaux métiers (IA, Big Data, virtualisation des réseaux). Au départ ce n’était pas gagné. En effet la direction ne voulait pas prendre d’engagement sur l’emploi et surtout transformer l’accord intergénérationnel en un accord de gestion de la fin des carrières. Face à l’unité syndicale, portée par la CGT, la direction a fait marche arrière. Nous allons pouvoir négocier un accord intergénérationnel et y faire inscrire cet engagement de recrutements. Nous porterons également l’embauche de jeunes femmes en utilisant tous les leviers y compris de recruter à un niveau inférieur à BAC+5 avec des engagements de formation.

Faisons de l’emploi une priorité, ensemble exigeons :
– le remplacement de tous les départs à minima,
– la réinternalisation des activités et des emplois sous-traités,
– l’embauche de tous les alternants qui souhaitent intégrer Orange,
– la féminisation des recrutements en renforçant les dispositifs d’accompagnement et de formation.

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Cadre

Flash Cadres N°788 : Pour une rentrée sociale !

En cette rentrée, nous aimerions nous rappeler nos congés payés, mais rien n’occulte l’accélération de la politique antisociale du gouvernement au service d’un Medef renouvelé. Le baromètre de l’Ugict-CGT, réalisé par Viavoce, révèle que 59 % des cadres considèrent leur rémunération en décalage avec leur temps de travail et 53 % avec leur implication. Sur chacune des questions les femmes cadres affichent une insatisfaction plus importante. Le nombre de cadres payés en dessous du plafond de la Sécurité sociale dépassé les 20 %. La dégradation des salaires s’explique notamment par la non-reconnaissance des qualifications des jeunes diplômés à l’embauche. Ceci est particulièrement visible dans les entreprises de notre secteur. L’annonce du désengagement de l’Etat dans le capital de La Poste au profit de la Caisse des dépôts qui deviendrait l’actionnaire majoritaire, est bien plus qu’une prise de contrôle de la CNP par La Banque Postale. Sous couvert d’un vocabulaire choisi, c’est un pas de plus vers le démantèlement du service public postal, lequel risque de ne pas peser lourd face à l’exigence de rentabilité d’un tel attelage financier. C’est aussi dans ce contexte que nous ne pouvons pas en rester à l’ajournement par le Medef de la négociation sur l’encadrement. Alors que les dividendes battent des records en France et dans le monde, les attentes sociales des cadres et leurs revendications spécifiques doivent être entendues. Proposer d’en débattre sur le lieu de travail, c’est réaffirmer que l’heure est à la défense des fondements de notre modèle social et à la conquête de nouveaux droits. C’est aussi pour cela que les cadres se mobiliseront le 9 octobre prochain !

Salariés oubliés
Onzième séance de négociation GPEC 2019- 2021 et toujours rien pour les salariés d’Orange ! La direction doit changer de stratégie en stoppant les suppressions d’emplois, les filialisations et la sous-traitance des activités. La CGT exige à tous les niveaux de l’entreprise un plan de formation, d’embauche et de réinternalisation des activités à partir des réels besoins dans les services, comme le développement de la FTTH, le déploiement du réseau dans les départements et la recherche. En amont, les Organisations Syndicales, réunies à l’initiative de la CGT, ont exigé que les bassins d’emploi, activités et métiers concernés, les recrutements, les départs en retraite et les mobilités ainsi que les volumes de sous-traitance et de filiales soient, enfin, nettement précisés dans le projet d’accord.

Spirale infernale
La situation du monde des télécoms où règne la finance (100 Md€ pour les marchés) permettrait à Bouygues de s’offrir SFR pour 24 Md€, incluant la dette alors reportée sur les salariés comme les plans de « départs volontaires » subis à SFR. Xavier Niel se dit prêt à vendre Free. Le secteur des télécoms est généreux avec les 1% de la population cumulant les richesses, mais l’est beaucoup moins pour augmenter les salariés qui les produisent. Les télécoms osent même faire appel à l’Etat, ainsi les collectivités, donc les citoyens, financeront 2/3 des 20 Md€ du plan THD pour des services ultra rentables. La CGT milite pour le droit à la communication et revendique l’appropriation publique du secteur pour garantir qualité, proximité́ , égalité́ des territoires et défense des intérêts des salariés et des usagers.

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Vie au travail

Orange/CNSHSCT Les conditions de travail et la santé des salariés dans le rouge

Sous couvert de transformation numérique et de plans d’économies, la direction d’Orange n’hésite pas à tailler dans les investissements, à imposer de nouvelles organisations du travail et à exiger toujours plus de sacrifices des salariés. Cette mutation digitale passe notamment par de multiples restructurations, fusions, fermetures et/ou déménagements, externalisations, qui ont de lourdes conséquences sur la santé des salariés. Partout, les conditions de travail sont délabrées et ce constat est, aujourd’hui, unanimement partagé par d’autres acteurs dans l’entreprise que les organisations syndicales.

Lors de la réunion du Comité National Hygiène Santé et Conditions de Travail (CNSHSCT) du 26 juin 2017, les rapports et bilans du Service de Santé du Travail (SST), des psychologues et des assistants sociaux font état des mêmes constats sur les effets nocifs des évolutions dans l’entreprise. Ces alertes unanimes sont fondées sur les mêmes situations que la CGT dénonce depuis longtemps : charge de travail accrue, qualité de travail empêchée, manque de reconnaissance, perte de sens du travail, injonctions contradictoires, etc… Il est important de noter que les médecins soulignent que la variable d’ajustement est le personnel de l’entreprise, notant au passage la baisse du recours à la sous-traitance.

Lorsque l’on tient compte les difficultés exprimées par le SST : manque de marges de manœuvre, nombreuses demandes de visites médicales, outil informatique complexe et peu évolutif, 5 démissions de médecins,…) il est clair que les moyens mis en œuvre par la direction pour assurer la santé des salariés sont largement en dessous que ce qu’il serait nécessaire. Les acteurs de la santé s’interrogent sur la perception de la hiérarchie de ses responsabilités vis-à-vis de la santé du personnel et ont l’impression de servir de caution morale pour des réorganisations définies préalablement. D’un commun accord, les médecins demandent que les services de santé au travail soient mieux intégrés aux projets et dans la prise en compte des risques professionnels plutôt que d’être seulement informés. C’est ce qui permettrait d’établir un véritable travail de prévention primaire ! L’amélioration de la qualité de vie au travail, est souvent supportée par les cadres de proximité qui ne disposent pour autant pas de moyens d’actions.

FOCUS SUR LES AD :

Les conditions de travail sont si préoccupantes dans les Agences Distribution que les médecins du travail y ont consacré une partie. Leur constat est édifiant. Ils soulignent une dégradation inquiétante des conditions de travail liée à une surcharge d’activité, une augmentation de la charge mentale, une pression temporelle accrue, sans compter l’insatisfaction client exacerbée (agressivité, incivilités) ainsi qu’un fort sentiment de non reconnaissance quant aux efforts fournis, de ne pas être entendus par la direction. Ces risques psychosociaux engendrent, de fait, une augmentation du petit absentéisme, du stress, des dérives, des tensions entre collègues…

Pour la CGT, l’amélioration des conditions de travail passe notamment par l’amélioration de la qualité du travail sans omettre de pointer l’attention à porter aux managers de proximité qui sont de plus en plus placés dans des situations très délicates de gestion de leurs équipes, souvent en diminution constante, et dont les objectifs de production restent à un niveau élevé et inchangé.

Toutes ses problématiques se retrouvent chez la majorité des salariés d’Orange : suractivité, polyvalence, manque d’informations et de formations, objectifs de plus en plus importants et difficiles à atteindre, sentiment d’isolement…
Dans la « digitalisation » vantée et développée par la Direction comme étant le must de la future organisation du travail, l’accompagnement des salariés reste une vraie interrogation. Pour beaucoup d’entre eux, la digitalisation n’est pas si facile à digérer.

Il suffit de regarder les conclusions du rapport SECAFI (enquête triennale 2015 pour le CNPS) sur cet item pour comprendre que la digitalisation à ses limites et surtout qu’elle engendre des RPS si elle n’est orientée que vers une augmentation de la productivité sans bénéfices pour le salarié et sans adaptation au profil du salarié.

La CGT revendique :
– Une étude sur travail prescrit et réel pour la mise en œuvre d’une véritable politique de prévention primaire
– La présentation d’un plan d’actions que la direction lors de la réunion du CNSHSCT d’octobre prochain.
– Le renforcement des moyens pour les acteurs du SST, leur intégration dans les projets de la direction
– Le maintien et le renforcement des moyens des CHSCT dans les futures organisations des IRP
– Une autre répartition des richesses créées en faveur des salariés et de l’amélioration des conditions de travail
– Des recrutements immédiats permettant de réduire la charge de travail du personnel et de faire un travail de qualité

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ASC / Restauration

Orange ASC : 5M d'€ reversés aux CE !

A l’initiative de la CGT, la majorité des élus du CCUES a décidé du reversement de 5 millions euros d’excédents ASC (budget dédié aux Activités Sociales et Culturelles) du CCUES vers les CE contributeurs. Cette décision va permettre à chacun des salariés d’Orange de pouvoir bénéficier d’une amélioration significative de leurs prestations ASC dans leurs CE d’appartenance.
Pour la CGT dès lors que les budgets le permettent, il est important que l’argent soit redistribué en proximité pour élargir les prestations ou les améliorer. Les élus CGT veilleront à ce que ces sommes bénéficient rapidement au personnel d’Orange et ne servent pas à constituer de matelas en vue des prochaines élections.
Depuis plusieurs élections, certains syndicats ont fait des ASC leur fond de commerce, quitte à dévoyer le sens même de l’existence des ASC. La CGT n’est jamais entrée dans ce jeu là. Les ASC sont une partie des activités des CE, au même titre que les AEP (activités économiques et professionnelles). AEP, dont les enjeux sont hautement stratégiques pour l’ensemble du personnel (formation, emploi, égalité pro, restructuration etc.).
À l’heure où certaines OS s’attribuent la paternité de la décision de reversement, il faut de rappeler que cette avancée a été obtenue à une très courte majorité : 12 voix pour, 11 contre et 1 abstention. Depuis plusieurs mois, le principe même de reversement des excédents budgétaires ASC du CCUES vers les CE en 2018 a été entravé par certains, préférant une opération visant à leur servir pour l’échéance électorale de 2019 ! Pour la CGT, les budgets ASC doivent bénéficier au quotidien des salariés, pas à la propagande électorale.
Pour aboutir à cette décision favorable au personnel d’Orange, les élus CGT du CCUES ont dû faire preuve de persévérance et surmonter les barrières que certains ont jugé bon de mettre en travers de leur chemin. D’ailleurs, il est assez amusant de voir que ce point a été mis à l’ordre du jour du CCUES du mois d’août avec un astérisque  » Points inscrits à l’ordre du jour à la demande des représentants CGT au CCUES  » . Est-ce pour valoriser le travail des élus CGT auprès des salariés ? Ou bien une basse manœuvre pour diviser les élus de l’instance et priver les salariés de ce reversement ?
Ce qui compte aujourd’hui, c’est que cette résolution ait été adoptée afin que l’ensemble du personnel concerné puisse en bénéficier par la mise en place de prestations qui répondent à leurs attentes.
ASC mutualisées : Des prestations à faire évoluer.
Il existe des prestations ASC mutualisées (Enfance, vacances enfants, bons plan…) Bien que ces offres existent déjà, il en reste beaucoup à faire évoluer en 2018 pour répondre aux attentes actuelles des salariés, notamment celle sur l’aide au transport pour les Vacances des Enfants.
La décision est actuellement reportée….Espérons que, comme pour le reversement du reliquat aux CE, la demande trouve une issue favorable. Il est important de signaler que le budget ASC, le permet.
Les élus CGT veilleront à ce que l’issue de cette décision, comme pour toutes les décisions qui visent à l’amélioration des prestations offertes au personnel d’Orange, soit adoptée.

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Emploi

GPEC, et si le personnel mettait son grain de sel ?

Jeudi 30 août avait lieu la 12 ème réunion de « négociation » sur la Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences (GPEC) censée servir à anticiper et prévoir la gestion des ressources humaines par territoire.

Les guillemets sont de mises, car lors de cette négociation triennale la direction refuse de parler emploi et n’entend rien négocier !

La Direction affiche pourtant l’ambition d’avoir une GPEC « utile » au salarié, ce qui serait quand même la moindre des choses vu que ce sont les salariés qui créent les richesses par leur travail. Mais la direction s’arque boute sur le principe d’une seule embauche pour 3 départs, car se sont les « consignes » données pour la construction du budget 2019. D’où le questionnement de la CGT sur la vocation d’une GPEC , si le niveau d’emploi nécessaire à l’activité n’est pas discuté?
La direction d’Orange propose un plan de réduction de personnel et « d’accompagnement » vers la porte de sortie.

Les activités assurées par les collègues qui partiront en retraite ou en temps partiel ne seront pas compensées par des embauches… au mieux elles seront sous-traitées, ou bien revendues a des industriels peu scrupuleux des conditions de travail. Au pire, ces activités viendront s’ajouter à la (sur)charge de travail des salariés qui resteront.

Malgré nos demandes, il reste impossible d’obtenir une vision précise des activités sous-traitées territoire par territoire. Pourtant, chacun mesure au quotidien les conséquences de la sous-traitance sur les conditions de travail et sur le service rendu aux usagers. Nous dénonçons le dumping social qui alimente la mise en concurrence des salariés et revendiquons l’embauche de tous nos collègues, sous-traitants au sein d’Orange sous la Convention Collective des Télécommunications.

L’entreprise refuse toujours de nous livrer une vision précise, service par service , site par site, des emplois et des activités pour les 3 ans à venir. Sans ces éléments, la GPEC ne permettra pas de répondre aux questions simples que chacun se pose dans les services : Quid de mon activité avec la transformation digitale imposée par l’entreprise? Quelles seront mes opportunités dans les 3 prochaines années sur mon bassin d’emploi ?Puis-je espérer autre chose qu’une dégradation de mes conditions de travail ?

Suite à notre intervention, la Direction s’est engagée « améliorer sa communication »  à destination du personnel sur la GPEC. Curieuse conception de la transparence lorsque sur ce même sujet l’entreprise refuse d’échanger avec les Instances Représentatives du Personnel (DS, DP, CHSCT) prétextant que c’est « trop compliqué ».

La CGT continue inlassablement de défendre le principe de l’embauche d’un jeune pour chaque départ.
Des besoins existent partout pour permettre notamment le déploiement sur l’ensemble du territoire de la 5G , de la fibre, garantir un service de qualité. Orange dispose des moyens nécessaires pour répondre aux besoins du personnel.
Pour rappel : Orange verse 2 milliards d’euros de dividendes par an aux actionnaires et l’industrie des Télécoms est le deuxième secteur économique le plus rentable après le pétrole en France .

La CGT invite les autres organisations syndicales à maintenir l’unité intersyndicale afin de gagner de nouveaux droit et une autre répartition des richesses pour le personnel d’Orange. Depuis 2 séances, toutes les organisations syndicales font des propositions et posent des questions dans une déclaration unitaire.
Des propositions et questions restent à ce jour sans réponse !

Tous les emplois supprimés et sous-traités ont une conséquence sur la qualité / quantité de travail des salariés d’Orange. Nous avons averti la direction sur les Risques Psycho Sociaux liés à la surcharge de travail et à la perte des connaissances notamment dans les domaines techniques. Trop nombreux sont les collègues qui partent en retraite ou en TPS avec des connaissances pointues et utiles, sans avoir pu former un jeune.

Les négociations avancent dans le sens des intérêts du personnel lorsqu’il se mobilise. Profitons de la journée d’action du 9 octobre pour mettre la question du remplacement des départs, la ré-internalisation des activités (dont le déploiement de la fibre), avec les embauches associées, comme un enjeu du développement d’Orange et du bien-être de ses salariés.

Si nous voulons gagner des emplois et des droits nouveaux, nous avons besoin d’un rapport de force pour peser sur la Direction. Toutes et tous en grève MARDI 9 OCTOBRE

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